On a simulé la saison sur le jeu NBA 2K17… et on connait déjà la fin de l'histoire

Que Cleveland profite de son sacre, son trône est en danger. Battus en finale au printemps dernier, les Warriors préparent une "revanche" éclatante si l'on en croit la simulation de la saison à laquelle on s'est amusé sur NBA 2K17, le jeu vidéo de basket ultime.

Golden State et sa super team emmenée par Steph Curry, Klay Thompson et Draymond Green, auxquels est venu s'ajouter Kevin Durant cet été, triomphera en finale... d'Orlando ! Le Magic, surprise, domine des Cavs privés de Kyrie Irving (une sale histoire de fracture de la jambe droite...) et d'Iman Shumpert (déchirure au mollet droit) en finale de la Conférence Est (4-3) dans notre simulation, avant de s'incliner 4-2 face aux champions 2015. Avec, à la clé, un titre de MVP des Finales pour Curry.

Quid du meilleur joueur de la saison régulière ? Il se trouve là encore à l'Ouest et répond au nom de Russell Westbrook. Avec 27 points, 9,3 rebonds, 10,3 passes et 3,4 interceptions de moyenne, l'arrière bondissant d'OKC a visiblement parfaitement digéré le départ de Durant. Sur console en tout cas. Reste que le Thunder, après avoir pris le meilleur sur les Spurs (4-2) au premier tour des playoffs, s'arrête en demi-finale de conf', la faute aux Clippers (4-3).

Au rayon des récompenses individuelles toujours, James Harden s'offre le titre de meilleur marqueur de la ligue avec 28,4 points de moyenne. Ben Simmons s'illustre comme le rookie de la saison. Dans la vie, la vraie, il est cependant peu probable que le prodige australien y parvienne : le numéro 1 de la dernière draft ne jouera pas avant janvier (dans le meilleur des cas) en raison d'un gros bobo à un pied.

Brandon Knight est désigné meilleur 6e homme et Jeremy Lin surprend avec un titre de MIP (joueur qui a le plus progressé de la saison). Les Clippers, équipe avec laquelle on a simulé la saison et atteint la finale de la Conférence Ouest, ne sont pas en reste : DeAndre Jordan récolte le prix de défenseur de l'année, Doc Rivers celui de meilleur coach. Reste maintenant à voir ce que la réalité des parquets nord-américains nous offrira ces prochains mois.