UK : Here Comes When, héroïque enfin !
Mis à jour 06/08/2017 à 20:28 GMT+2
Papi du peloton des Sussex Stakes 2017 puisque âgé de sept ans, le pensionnaire de Andrew Balding s'est offert le scalp de Ribchester faute d'avoir su approcher l'ombre du crack Solow il y a de cela deux saisons !
Majoritairement emportés par l'élan de la jeunesse et figurant au palmarès des cracks Brigadier Gérard et Frankel, légendes illustres, les Sussex Stakes de Goodwood n'ont pas immortalisé cette fois l'attendu et évident, le nommé Ribchester, mais le courageux et expérimenté Here Comes When, à son aise sous la pluie, les sabots guinchant, et, pour une fois, dans le rôle de premier de la classe. Lauréat de Listed pour sa rentrée, et dans sa jeunesse de Challenge Stakes à Newmarket, le précieux papi d'Andrew Balding avait couru chaque mois d'avril à novembre 2016, signant une place dans le Criterion et une victoire, assurément tendrement appréciée de son staff, sur l'anonyme hippodrome de Bath. Impossible de le voir lauréat à Glorious Goodwood. Et pourtant.
Le fils de Danehill Dancer n'avait plus osé mettre un pied au plus haut niveau depuis son presque podium de 2015, dans cette même belle épreuve. Solow immense vainqueur. Here Comes When, on le sait maintenant, déjà rêveur.
En ce deuxième jour d'août à Goodwood, il y eut - mon ami Julien, la Légende, la vraie, en témoin - tempête côté pesage, et tempête côté piste.
Était-ce l'opacité des gouttes nombreuses et désagréables qui faisait plisser les yeux, et mirager l'impossible ?
L'animal, le coeur en fête, les perles humides accompagnant son triomphe, ne luttait pas face au monstre Godolphin. Il le dominait, Jim Crowley en selle.
Bravo !
Le fils de Danehill Dancer n'avait plus osé mettre un pied au plus haut niveau depuis son presque podium de 2015, dans cette même belle épreuve. Solow immense vainqueur. Here Comes When, on le sait maintenant, déjà rêveur.
En ce deuxième jour d'août à Goodwood, il y eut - mon ami Julien, la Légende, la vraie, en témoin - tempête côté pesage, et tempête côté piste.
Était-ce l'opacité des gouttes nombreuses et désagréables qui faisait plisser les yeux, et mirager l'impossible ?
L'animal, le coeur en fête, les perles humides accompagnant son triomphe, ne luttait pas face au monstre Godolphin. Il le dominait, Jim Crowley en selle.
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