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TweeTour : Près de la mer du nord, même les requins ont perdu pied

Loïc Tanzi

Mis à jour 06/07/2015 à 09:22 GMT+2

TOUR DE FRANCE - Le Tour sur Twitter, ça pétille. Petite revue de tweets avant, pendant et après l'étape du jour. Entre vent, mer et pluie, la deuxième étape n’a pas manqué de suspense.

Des supporters durant la deuxième étape du Tour de France 2015 - 05/07/2015

Crédit: Panoramic

Philippe Mauduit, le directeur sportif de Lampre avait quelques prédictions avant le début de l’étape. Il n’a pas eu tort.
Il faut se faire beau avant de partir, surtout avec le monde qui attendait les coureurs sur le bord des routes. Jeremy Roy l’a bien compris et a fait un petit tour par la case barbier avant la course.
Au bout, pourtant, une forme de récompense. On ne sait jamais. Certains coureurs pourraient avoir envie de piquer une tête après un effort long de 166 kilomètres.
Tony Martin n’aurait pas dit non à une tenue un peu plus jaune ce dimanche. Mais, pour 5 secondes samedi, 3dimanche, l’Allemand a dû se contenter de vert.
En revanche, Rohan Dennis n’a pas fait les choses à moitié : vélo jaune, casque jaune et bien sûr maillot jaune.
Avant le départ, les coureurs de la FDJ ont offert quelques autographes à leurs supporters. Et leur community manager n’a pas manqué d’humour.
Et toutes les équipes n’avaient qu’elle dans la tête. La fameuse ligne droite à l’arrivée. Avec des conditions dantesques.
Katusha a même envoyé  des scouts qui sont passés quelques heures avant les cyclistes pour ensuite faire un rapport détaillé sur les conditions de course.
Et il n’est pas sûr qu’il ait eu de bonnes nouvelles à annoncer.
La pluie n’a pas découragé les nombreux supporters sur le bord des routes. Il fallait être équipé.
"On supporte la Team Sky par tous les temps. Grosse pluie et fort vent à 12 kilomètres de l’arrivée."
On s’en doutait, ça allait être difficile pour certains leaders. Alejandro Valverde et Nairo Quintano ont été les premiers à craquer avec Jean-Christophe Péraud (AG2R) et Bauke Mollema (Trek).
Même les requins se retrouvent parfois en difficulté sous l’eau.
Il y en a pour qui en revanche, cela n’a posé aucun souci.
Mais cela n’a pas suffi pour battre la puissance d’André Greipel.
Mikael Cherel (AG2R) a connu une deuxième journée difficile. Nouvelle chute et celle-ci a emporté son leader en route. Vivement lundi.
Dans un jour comme celui-ci, les coéquipiers des leaders ont un rôle capital. Chris Froome (Sky) n'a pas manqué de les remercier.
Certains comme Andrew Talansky (Cannondale-Garmin) qui étaient préparés à ce genre de journée.
"Vent, pluie, chutes, cassures... ce ne serait pas le Tour de France sans ça. On passe à la prochaine."
Certains ont trouvé un drôle de réconfort après tous ces efforts.
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