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Les sept phrases qui prouvent que Laurent Blanc (PSG) a survolé l'agitation de la semaine

Lucile Alard

Mis à jour 18/04/2014 à 23:28 GMT+2

Contre l’OL samedi, le PSG peut accrocher son deuxième trophée de la saison. La pression sur Laurent Blanc est réelle mais le coach parisien n’en a cure.

Laurent Blanc (PSG) en conférence de presse avant la finale de la Coupe de la Ligue

Crédit: Panoramic

La Coupe de la Ligue pourrait décider de l’avenir de Laurent Blanc. Mais en conférence de presse d'avant-match, sa première prise de parole depuis la défaite de son équipe en terre lyonnaise (1-0), l'entraîneur parisien est apparu très au-dessus de l'agitation de la semaine. Les spéculations sur son futur vont bon train mais il préfère rester en dehors du débat. Il se focalise sur la rencontre face à l'OL samedi. Et malgré l'enjeu, la pression, il la balaie.

Son avenir, on n'en parle même pas

L'entraîneur du PSG a coupé court à toutes questions sur son avenir. Pas le sujet.
Ça continue... Je t'arrête là, parlons de la finale. Préparer la finale, c'est important. On va la préparer collectivement. Les cas particuliers sont à oublier ce soir.

Il en est certain, ses joueurs seront au rendez-vous

En dix jours, le PSG a subi deux défaites consécutives. Une première depuis l’arrivée de Laurent Blanc sur le banc. Mais malgré ces coups de mou, l’entraîneur parisien n’imagine pas une seconde que ses joueurs soient abattus.
A travers les visages que j'ai vus cette semaine, je peux dire qu'ils sont remobilisés.

Etre favoris, c’est normal pour les Parisiens

Rares sont ceux qui reconnaissaient leur statut de favori. Tout le contraire de Blanc. Pour lui, il est logique que le PSG ait la pancarte de favori et… la pression qui va avec sur les épaules.
Je veux bien l'accepter (la pression) car quand Paris joue, il doit gagner. Surtout quand c'est une finale de coupe.

C’est même une habitude

Et si la pression peut couper les jambes, Blanc et le PSG la vivent plutôt bien.
On est légèrement habitué... Ça ne va pas nous changer.
picture

Laurent Blanc sur le banc du PSG, Ligue 1 2013-2014

Crédit: AFP

Jouer le match avant de penser au résultat

L’échec en finale, Blanc ne veut pas l’envisager. Il ne veut surtout pas répondre aux questions sur ses éventuelles conséquences.
Mais il est fou d'anticiper et de participer à un débat sur un résultat, positif ou négatif qu'on ne connaît pas encore !

La Coupe de la Ligue, une obligation ?

Ce trophée pourrait permettre à Blanc de présenter un meilleur bilan qu’Ancelotti à la tête du PSG qui avait "juste" remporté la Ligue 1 la saison passée. Mais pour le Cévénol, l’obligation de gagner n’est pas plus importante sur cette compétition que sur une autre.
Tous les trophées sont importants à gagner. Un jour il y aura certainement la Coupe de France et la Ligue des champions aussi. Quand on joue à Paris on est obligé de gagner.

Les défaites étaient celles du "faux" Paris

Le visage affiché par les Parisiens lors des deux dernières rencontres fait pâle figure. Pas d’inquiétude, on va retrouver le Paris compétitif du reste de la saison.
Là, j'espère qu'on va retrouver le vrai Paris SG.
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