Coupe du monde 2014 - Bourrins, Zidane, Algérie : Le top 10 des déclas des Bleus ce lundi
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Publié 17/06/2014 à 04:44 GMT+2
Zidane qui passe un coup de fil à Benzema, Deschamps qui menace les journalistes avec le sourire : ce qu’il fallait retenir des conférences de presse de lundi.
Karim Benzema en conférence de presse à Ribeirao Preto
Crédit: Panoramic
1. Allô Karim ? C’est Zizou.
Certains ont leurs parents au bout du fil avant une rencontre qui compte. D’autres un ancien coach ou un ami. Benzema, lui, a Zizou. En toute simplicité.
J'ai eu Zidane avant le match. Il m'a souhaité bonne chance et m'a dit de prendre des risques.
2. On part à 23, on arrive à 23
Entrainer un groupe, c’est aussi se soucier de ceux qu’on ne sollicite jamais. Mickaël, Stéphane, Morgan, Eliaquim, Lucas… cette semaine est pour vous.
C'est le plus difficile: cette semaine, on va essayer de ne perdre personne en route, faire en sorte que ceux qui jouent moins ou pas soient prêts à entrer si nécessaire.
3. Pas de star chez les Bleus
Benzema ne veut pas tirer la couverture à soi. Superstar du Mondial ? Très peu pour lui.
La star, c'est l'équipe, pas moi.
4. Bonne nouvelle, la France va être championne du monde
Si on suit le raisonnement de Deschamps, la France peut aller très loin. Plus loin que le Brésil en tout cas.
Dans le foot, il y a deux postes importants : gardien et avant-centre. Quand les deux sont bons, c'est plus facile de gagner.
5. 1, 2, 3, viva l’Algérie
Karim Benzema n’a pas oublié ses origines. S’il défend les couleurs françaises, une autre sélection a une place particulière dans son cœur.
J'espère que l'Algérie va faire un bon match. J'espère qu'ils vont se qualifier.
6. Deschamps avertit les journalistes…
Moment de détente et d’habile communication de Deschamps dans le théâtre de Ribeirao Preto. A la question de savoir si on pouvait en savoir plus sur l’état de santé de Ribéry, le sélectionneur s’en est sorti avec panache… et sans rien dire de plus.
Moi, je ne suis pas un relanceur, j’étais un tacleur et je n’en ratais pas beaucoup. Si tu veux éviter de te faire tacler...
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Didier Deschamps en conférence de presse à Riberao Preto
Crédit: AFP
7. Viril mais correct
Karim Benzema n’a pas voulu accabler le Honduras. Oui, des dents ont volé. Oui, des chevilles se sont brisées. Mais le Madrilène reste fair-play.
Les Honduriens n'étaient pas des bourrins, pas des tueurs. Il y avait de l'impact.
8. Prends ça Laurent Blanc
Didier Deschamps a fait l’apologie de Yohan Cabaye dans un rôle de sentinelle. Un petit tacle en douceur pour son coach au PSG ?
C'est le poste qu'il préfère, il aime son rôle et se sent bien.
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Didier Deschamps avec Yohan Cabaye (Equipe de France, 2014)
Crédit: Eurosport
9. Une nuance qui a son importance
Benzema l’assure, il n’a rien changé. Son image, sa relation au public, tout est spontané.
Je ne sais pas s'il y a un changement d'image. Je suis toujours pareil. Je ne change pas, j'évolue.
10. Benzema, le foot et rien d’autres
Karim Benzema aime le foot et respire foot. A votre avis, de quoi parle-t-il avec ses coéquipiers ?
Si on a envie de parler football avec moi, je parle toute la journée. Après, j'ai du mal à parler du reste.
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