Les plus populaires
Tous les sports
Voir tout

Mondial 2014 - Argentine: Alejandro Sabella reconnaît "sa dépendance vis-à-vis de Lionel Messi"

ParAFP

Mis à jour 01/07/2014 à 13:06 GMT+2

Le sélectionneur de l'Argentine, Alejandro Sabella, reconnaît sa "dépendance vis-à-vis de Messi", avant le huitième de finale que jouera l'Albiceleste contre la Suisse, mardi, à Sao Paulo.

Alejandro Sabella en discussion avec Lionel Messi pendant la préparation pour le Mondial 2014

Crédit: AFP

Si elle est regrettable, la blessure d'Agüero "facilite"-t-elle votre tâche pour bâtir l'équipe?
Alejandro Sabella: Une blessure n'est jamais une bonne nouvelle surtout un joueur de la qualité d'Agüero. Et je ne vais pas vous donner la composition de l'équipe.
Q: Pourquoi, vous avez des doutes?
A.S: J'ai toujours quelques doutes, jusqu'à la dernière minute ou presque. Bon, jusqu'à ce soir minuit.
On vous appelle à minuit alors?
A.S: (rires) Vous pouvez toujours essayer, si vous avez mon téléphone, mais je ne vais sûrement pas répondre
Comment imaginez-vous ce match?
A.S: Le foot n'est pas toujours prévisible. Et ce que j'imagine, je ne peux pas le rendre public la veille du match, vous imaginez bien, donc, toutes mes excuses.
Il y a toujours une dépendance de l'Argentine vis-à-vis de Messi, comme du Brésil vis-à-vis de Neymar, c'est clair
Messi est-il votre Maradona de 1986?
A.S: Sa Coupe du monde est couronnée de succès, c'est ce qu'on attendait tous, lui, ses coéquipiers, et le public argentin en général. C'est un joueur fondamental, comme Maradona.
Est-il plus important que Neymar pour le Brésil?
A.S: Messi est le meilleur joueur du monde et Neymar est fantastique. Il y a toujours une dépendance de l'Argentine vis-à-vis de Messi, comme du Brésil vis-à-vis de Neymar, c'est clair.
Avez-vous préparé les tirs au but?
A.S: Hier (dimanche), nous avons fait une série à l'entraînement, mais c'était un peu informel, ce n'est pas la même chose de tirer devant 80 000 personnes, il y a le coup de pied, et la force morale. D'une manière générale, indépendamment de la technique ou de la stratégie, la force morale et le contrôle des émotions sont vitaux, avec la force physique, surtout ici avec la chaleur. Et il s'agit de notre troisième match à 13h00. Il faut une énorme force de caractère pendant ces moments très durs. Si le moral était un muscle, ce serait le plus important. Je crois qu'un philosophe a dit: "Un gramme de neurones pèse plus qu'un kilo de muscle."
Que redoutez-vous de la Suisse?
A.S: Malheureusement, je ne peux rien dire, et je ne pense pas que l'entraîneur suisse va se prononcer sur nos points forts non plus.
Rejoignez Plus de 3M d'utilisateurs sur l'app
Restez connecté aux dernières infos, résultats et suivez le sport en direct
Télécharger
Partager cet article
Plus de détails
Publicité
Publicité