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Saint-Valentin, Playstation, arbitrage, Benzema: Le top 12 des déclas de la conf' des Bleus

Martin Mosnier

Mis à jour 13/06/2014 à 21:39 GMT+2

Les Bleus privés de Saint-Valentin, les parties de Playstation, les polémiques sur l’arbitrage ou la forme ascendante de Karim Benzema : voici ce qu’il ne fallait pas louper de la conférence de presse de Loïc Rémy, Stéphane Ruffier et Blaise Matuidi à Ribeirao Preto ce vendredi.

Matuidi en conférence de presse lors du Mondial 2014

Crédit: AFP

1. Ruffier et le respect de la hiérarchie

S’il répète qu’il travaille comme s’il était numéro 1, le portier des Verts a évacué sans fioriture la question de sa situation sur le banc avec une mine renfermée qui n’invitait pas à rebondir sur sa réponse.
Devenir numéro 1 ? Ce n'est pas d'actualité.

2. Des ambitions oui, des rêves non

Oui les Bleus ont des ambitions. Oui, l’euphorie qui les entoure laisse envisager un Mondial réussi. Mais Blaise Matuidi a bien plombé l’ambiance.  
On a les pieds sur terre, on a vu que la Croatie pouvait déranger le Brésil.

3. Veinards les Bleus ont du foot 24h/24h

Ils en ont de la chance. L’hôtel des Bleus a mis à leur disposition un canal qui diffuse tous les matches de préparation de leurs adversaires. Ils peuvent donc se goinfrer de Suisse-Pérou, Honduras-Israël ou Suisse-Jamaïque. À écouter Blaise Matuidi, on les envierait presque.
On a une chaîne qui diffuse dans notre chambre en continu les matches de nos adversaires. C'est génial.

4. Le Honduras reste un mystère

A priori, les Bleus sont plus attirés par les Finales NBA que par les rencontres de leurs futurs adversaires. Le Honduras reste, pour le moment, une menace sans visage. En tout cas pour Loïc Rémy.
Je connais Figueroa mais je n'en connais pas des masses.
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Loïc Rémy (France) estime que Fred a "bien joué le coup" face à la Croatie

Crédit: Panoramic

5. Les Bleus en plein spleen sentimental

Mercredi, les Brésiliens fêtaient la Saint-Valentin et les joueurs de la Seleçao ont pu passer un peu de temps avec leurs femmes. Pas Blaise Matuidi. Lui et les Bleus qui devront attendre le 22 juin pour voir leurs compagnes débarquer sur le sol brésilien.
Thiago Silva a de la chance, pas de Saint-Valentin pour nous.

6. Les arbitres se sont couverts

Ridicule lors du match d’ouverture, tttu aussi discutable lors de Mexique-Cameroun, l’arbitrage est la grande star de ce début de Coupe du monde. En même temps, les hommes en noir avaient prévenu, rappelle Loïc Rémy…
Les arbitres sont venus nous voir pour nous faire passer un message: l'erreur est humaine.

7. Benzema, le leader que la France attend

Ruffier, Matuidi et Rémy ont tressé les louanges de Karim Benzema ce vendredi en conférence de presse. Le Madrilène semble dans la forme de sa vie et ne cesse d'impressionner, notamment le gardien stéphanois.
Karim est un attaquant de classe mondiale. Il est très mobile, il prend les espaces et sait faire jouer les autres. 

8. Rémy, c’est pas Zizou

Ce qui est agréable avec Loïc Rémy en conférence de presse, c’est qu’il ne cède pas aux discours souvent tièdes que l’exercice impose parfois à certains de ses camarades. Rémy dit ce qu’il pense et c’est rafraichissant. Quand il s’agit d’analyser son profil, il est sans concession.  
Je ne suis pas le plus à l'aise techniquement, ce n'est pas réducteur de dire que je suis un joueur d'espace. 
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Karim Benzema à Rebeirao Preito, 2014

Crédit: AFP

9. Patrice, le grand frère

Après Pascal, le grand frère, voici Patrice. Evra bien sûr. Loïc Rémy, comme tous ses équipiers questionnés sur le sujet, reconnait la place prépondérante du latéral de Manchester United dans le vestiaire.
Patrice a peut-être le rôle le plus important dans l'équipe. Il a un impact sur le groupe. C'est un grand frère.

10. Rémy n’accable pas Fred

Jeudi, lors du match d’ouverture de la Coupe du monde, Fred s’est grossièrement écroulé dans les seize mètres croates. Une belle simulation qui n’a pas ému Loïc Rémy, l’attaquant de l’équipe de France.
Fred joue bien le coup. Il se jette au bon moment. 

11. Ruffier, cet ours

Les Bleus, enfermés dans leur hôtel, peuvent commencer à trouver le temps long. Certains se retrouvent en groupe pour des parties de FIFA. Ruffier, lui, n’est pas du genre à socialiser.
On occupe le temps comme on peut : Playstation ou cartes. Moi je regarde l'actualité, ce qui se passe en France, et je reste dans ma chambre d'hôtel.

12. Brazuca rend fou Ruffier

Comme tous les gardiens, Ruffier n’aime pas le nouveau ballon de la Coupe du monde. C’est un peu toujours la même histoire : trajectoire incertaine et illisible. De quoi rendre chèvre les portiers.
Les ballons Adidas sont prises de tête.
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Stéphane Ruffier en conférence de presse avec l'équipe de France.

Crédit: AFP

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