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PSG - Inter (1-0): Un match sans relief, des expérimentations mais le PSG conclut 2014 par un succès

Alessandro Pitzus

Mis à jour 30/12/2014 à 22:17 GMT+1

Pour conclure l'année 2014, le PSG s'est imposé face à l'Inter Milan (1-0), en match amical à Marrakech. Si Laurent Blanc a aligné un onze inhabituel au coup d'envoi, c'est Yohan Cabaye qui a offert la victoire aux Parisiens en seconde période quand l'Inter a opéré une vaste revue d'effectif.

Zlatan Ibrahimovic face à Danilo D'Ambrosio, lors du PSG-Inter en amical - 2014

Crédit: AFP

Le PSG termine l’année 2014 sur un résultat positif. Dans un match amical sans saveur contre l’Inter Milan à Marrakech, le club de la capitale s’est imposé (1-0) grâce à un but de Yohan Cabaye. Les nombreux changements opérés par les deux entraîneurs en seconde période ont eu un impact sur l’intensité et la qualité de la rencontre.
Assez pauvre en intensité, la première période de ce match amical a manqué de tout. Techniquement, les 22 acteurs ont multiplié les approximations, notamment dans les transmissions. En alignant cinq milieux axiaux dans son onze de départ, Laurent Blanc a voulu innover mais cela n’a pas été concluant. Ces permutations incessantes ont perturbé l’équilibre de l’entrejeu parisien. Les milieux du club de la capitale ont eu du mal à combiner entre eux, ils étaient perdus. Offensivement, le PSG s’est procuré deux occasions par l’intermédiaire d’Ibrahimovic (27e) et Matuidi (37e) mais les deux joueurs ont buté sur un Handanovic vigilant. Côté Inter, les Nerazzurri ont eu deux opportunités pour ouvrir le score mais Mauro Icardi a vendangé (28e et 43e).
Cabaye buteur, Lucas dynamiteur
En effectuant de nombreux remplacements en seconde période, l’Inter de Roberto Mancini a perdu pied et s’est mis à reculer dangereusement. Sur l’une de ses rares offensives, le club de la capitale a ouvert le score grâce à Cabaye, bien placé après une action initiée par le duo Verratti - van der Wiel (1-0, 57e). Peu de folies, pas d’étincelles hormis lorsque Lucas est entré en jeu. Le Brésilien a été le seul à accélérer les débats et faire quelques percées. Pour le reste, il n’y avait pas grand-chose à voir. Il est grand temps que l’année 2014 se termine pour Laurent Blanc et ses hommes.
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