Infantino pour une Coupe du monde à 48 équipes avec 16 groupes de 3 à partir de 2026

COUPE DU MONDE 2026 - Le président de la FIFA Gianni Infantino s'est dit en faveur d'un système à 48 équipes, réparties en 16 groupes de 3 pour la Coupe du monde. Ce système pourrait intervenir à partir de l'édition 2026. Arrivé en février dernier à la tête de l'instance, le Suisse s'était déjà prononcé pour un plus grand nombre de participants aux compétitions internationales.

Le président de la FIFA Gianni Infantino envisage désormais de faire passer le format de la phase finale de la Coupe du monde à 48 équipes avec 16 groupes de 3 équipes à compter de l'édition 2026, a-t-on appris mercredi d'une source interne à la fédération internationale.

Gianni Infantino qui proposait jusqu'alors un Mondial à 48 équipes mais avec une phase finale classique avec 32 équipes, va soumettre cette nouvelle proposition qui a sa préférence lors de la prochaine réunion du Conseil de la FIFA les 9 et 10 janvier à Zurich.

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Une lettre présentant ce nouveau format devait être envoyée mercredi à l'ensemble des membres du Conseil de la FIFA, a précisé cette source interne à la FIFA.

Vote le 9 et 10 janvier prochain

Selon ce nouveau format, "chaque équipe qualifiée disputerait ainsi au moins deux matches de poule. Les deux premiers de chaque groupe seraient ensuite qualifiés pour les 16e de finale", selon la même source précisant que cette formule avait "la préférence du président Infantino".

Plusieurs propositions seront soumises au vote des membres du Conseil, la nouvelle appellation du Comité exécutif de la FIFA, les 9 et 10 janvier : le maintien du format actuel d'une phase finale à 32 équipes, le passage à un Mondial à 40 équipes ou à 48 équipes.

Gianni Infantino, lors du deuxième jour du 66e congrès de la fifa à Mexico, le 13 mai 2016.

Crédit: AFP

M. Infantino, ancien bras droit de Michel Platini à l'UEFA, a également rappelé récemment qu'il était favorable à l'avenir à un Mondial "coorganisé" par plusieurs pays car, selon lui cela permet de répartir dans plusieurs pays les équipements nécessaires.

"Nous ne voulons pas d'éléphants blancs (ces stades laissés à l'abandon ensuite). Nous voulons des équipements durables" avait-il expliqué

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