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Après le nul du Real Madrid contre le Betis Séville, Zinédine Zidane évoque un "manque de chance"

ParAFP

Mis à jour 25/01/2016 à 21:32 GMT+1

Zinédine Zidane veut "retenir le positif" du match nul du Real Madrid chez le Betis Séville ce dimanche (1-1). Son équipe a seulement "manqué de chance", explique le coach madrilène.

Zinédine Zidane, l'entraîneur du Real Madrid.

Crédit: AFP

Zinédine Zidane n'a pas réussi la passe de trois dans le costume d'entraîneur du Real, concédant un match nul sur la pelouse du Betis Séville ce dimanche (1-1). Mais pas question de tirer le signal d'alarme pour le nouveau coach madrilène. "Nous avons manqué de chance, a-t-il résumé en conférence de presse. Quand on a des occasions, il faut les concrétiser." Le fait d'avoir eu les opportunités de faire mieux chez le 15e de Liga fait dire au Français que son équipe "méritait peut-être mieux".
Après l'ouverture du score magnifique d'Alvaro Cejudo (7e) pour le Betis, le Real a égalisé sur un but Karim Benzema, entaché d'un hors-jeu initial de James Rodriguez (71e), mais le onze madrilène n'est pas parvenu à s'imposer dans un final échevelé. "Nous avons peut-être raté notre début de match. Je savais que les premières minutes allaient être difficiles. Nous avons vécu un match difficile", a poursuivi Zidane, qui s'est attaché à garder le sourire devant la presse malgré cette contre-performance.
Je suis fier de mes joueurs
"Je ne m'attendais pas à ce résultat mais c'est le football. Si tu ne la mets pas au fond, cela peut arriver", a dédramatisé Zidane. "Nous allons rester sur notre ligne de travail, nous sommes sur le bon chemin. Il faut retenir le positif. Le négatif, c'est que nous avons perdu deux points mais nous allons aller de l'avant. Il faut se battre jusqu'au bout dans cette Liga", a-t-il fait valoir. "Je suis fier de mes joueurs ce soir, il ne nous a manqué que ces deux points. Je n'ai rien à leur reprocher."
Au passage, l'idylle entre Zidane et la presse espagnole semble prendre fin. En conférence de presse, le Français a eu droit à des questions répétées sur ses choix de coaching, comme celui de laisser le latéral Dani Carvajal sur le banc au coup d'envoi, ou de n'effectuer que deux des trois changements possibles. Carvajal "n'avait rien", a répondu Zidane. Pas vraiment le même discours que son dirigeant Emilio Butragueño, qui l'a qualifié de fiévreux. La communication reste à coordonner.
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