"Lorient, c'est ma ville"

Y.G. : Après la première mi-temps qu'on a réalisée, on peut être déçus. On pensait vraiment faire un résultat contre la Roma. D'autant que les Italiens n'étaient pas au mieux, pas en confiance. Nous, on était bien en place, on avait des décalages, on était bien équilibrés. En tout cas, moi, j'ai pris beaucoup de plaisir à jouer la première mi-temps.

Y.G. : C'est sûr que c'est le tournant du match. Mais même à dix contre onze, on n'a rien eu à leur envier, on a su rester bien en place jusqu'au premier but. On a essayé de rester solides et bien équilibrés. On a redoublés d'efforts, après ils égalisent et là, ça se complique. Ce qu'il faut retenir, c'est la première heure de jeu.

Y.G. : Au niveau de l'état d'esprit, on a été très bien. On a retrouvé un bloc équipe, ce qu'on n'avait pas depuis le début du championnat. On ne les a pas laissés jouer, on était conquérants, on a fait de bonnes actions, il y a beaucoup de bonnes choses à retenir.

Y.G. : Je ne crois pas, moi, je pense que c'est plutôt l'arbitrage. Il y a des fautes qui ne sont pas sifflées, des tirages de maillots pas sanctionnés… C'est plus l'arbitrage à mon avis que l'expérience.

Y.G. : Il reste des chances de se qualifier, il faudra jouer les matches à fond. En Ligue des champions, ça peut aller très vite. Si on reste à onze contre onze, avec le même état d'esprit qu'hier soir, la même qualité ça peut le faire.

Y.G. : C'est sûr, Lorient, ça va être un match particulier pour moi. C'est ma ville, mes parents y vivent… On va voir ce que ça va donner, mais ça ne va pas être évident. L'important ça va être de bien récupérer physiquement et de digérer la défaite mentalement.

Y.G. : Ca ne va pas être évident ni pour moi, ni pour mon père. Stressé ? Non, mais c'est vraiment particulier, en plus c'est à Lorient, chez moi. Mais je suis content de jouer contre mon père.

Y.G. : Mon père ne change pas de système suivant les joueurs qu'il affronte. Il a son 4-4-2, il se base sur l'équipe mise en place, pas sur un joueur en particulier.

Y.G. : Oui, oui. Je l'ai eu hier soir au téléphone, je l'aurai sûrement aujourd'hui, mais on ne parlera pas tactique. Il y aura peut-être un débriefing après le match…