Le Top des déclas de la 26e journée de Ligue 1
ParEurosport
Mis à jour 23/02/2014 à 10:47 GMT+1
Galtier savoure le podium des Verts, Puel plaide coupable, Dupraz résume les lacunes de ses joueurs : voici les petites phrases de la 26e journée de L1.
Saint-Etienne, le podium revanchard
Les Verts sont troisièmes de Ligue 1 après leur victoire à Bastia (0-2). Une belle récompense pour les hommes de Christophe Galtier, un peu critiqués la semaine passée face à Marseille (1-1). Leur entraîneur n'a pas oublié.
Être troisième ce soir signifie que nous ne sommes pas si mauvais que cela.
Gourvennec mise plus sur la famille
Jocelyn Gourvennec a loué le comportement de ses Guingampais, qui ont renoué avec la victoire en s'imposant sur le fil face à Nice (1-0). Et manifestement, l'entraîneur breton fait davantage confiance à sa famille qu'à ses amis.
Il fallait que les joueurs se fassent confiance, qu'ils fassent un match de frères et pas de potes.
Puel plaide coupable
Malheureux, Nice s'est incliné dans les derniers instants à Guingamp (1-0). Frustré, l'entraîneur niçois Claude Puel ne fuit pas ses responsabilités pour autant. Bien au contraire.
S'il y a quelque chose à dire c'est de ma faute... Je n'ai pas fait des choses judicieuses et sûrement pas aidé mes joueurs dans ces dernières minutes.
Bastia a fait les fonds de tiroir
Battu à domicile par Saint-Etienne (0-2), Bastia n'avait pas vraiment les armes pour lutter avec les Verts à en croire les propos de l'entraîneur corse Frédéric Hantz.
Nous avions deux amateurs et un stagiaire sur la feuille de match ce qui peut expliquer nos faiblesses.
Montpellier a changé de standing
A une époque de la saison, Montpellier n'avançait pas. Maintenant, on ne l'arrête plus, à l'image de la nouvelle victoire du MHSC face à Ajaccio (2-0). Elle a permis à Anthony Mounier de faire constater le changement de rythme de son équipe.
Avec quinze points en sept matches, on a un rythme de champion.
Pour Bracconi, il y a descendre et descendre
L'AC Ajaccio ne se faisait déjà pas trop d'illusions sur ses chances de maintien, encore moins après un nouveau revers concédé à Montpellier (2-0). Mais ce n'est pas ce qui dérange son entraîneur, Christian Bracconi.
Descendre est une chose, mais il y a une manière de descendre. Je n'accepte pas celle montrée ce soir.
ETG, l'intermittent du spectacle
Battu à Bordeaux (2-1), Evian reste dans une situation délicate à la 17e place du classement. Son entraîneur, Pascal Dupraz, a trouvé la formule pour résumer les lacunes persistantes de son équipe.
Il faut jouer davantage que 30 minutes et essayer d'arrêter de faire rire tout le monde sur les buts qu'on prend.
Jacobs avait pourtant tout fait pour éviter ça
Le match nul concédé face à Sochaux (2-2) a laissé un goût amer à l'entraîneur valenciennois Ariel Jacobs. D'autant plus qu'il pensait avoir fait le nécessaire pour éviter les deux buts sur coups de pied arrêtés.
Depuis le début de la semaine, on a répété qu'il fallait faire attention aux coups de pieds arrêtés et éviter de commettre des fautes inutiles. Ce soir, on ne peut pas s'imaginer des fautes plus stupides.
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