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Vainqueur à Lorient (0-1), le PSG passera encore un week-end tranquille en L1

Benoît Vittek

Mis à jour 22/03/2014 à 00:38 GMT+1

Grâce à un but de Thiago Motta, le PSG a remporté un sixième succès de rang en championnat à Lorient (0-1) pour s'envoler avec onze points d'avance sur Monaco. Les Merlus restent douzièmes, mais peuvent dégringoler à la quinzième place en cas de victoires de Guingamp, Montpellier et Nantes.

L1 2014 Lorient PSG Ibrahimovic Motta Verratti

Crédit: AFP

Laurent Blanc a beaucoup serré les dents à Lorient mais peut espérer s'en être sorti sans trop de dommages. Soulagé par un but de Thiago Motta (41e), son Paris Saint-Germain s'est imposé à Lorient sur la plus petite des marges (0-1). Et les nouvelles semblaient rassurantes pour Thiago Silva, sorti rapidement après avoir reçu un coup au visage (24e). Le PSG peut donc continuer tranquillement sa route sur les cimes de la Ligue 1, onze longueurs devant Monaco, et espérer retrouver rapidement son capitaine, indispensable à un bon parcours européen.

Et Ibra se réveilla…

Tout s'est donc bien fini pour le PSG après avoir bien mal commencé. Naturellement, les joueurs parisiens ont rapidement mis le pied sur le ballon. Sans trop savoir qu'en faire. Bien plus incisifs, les Lorientais ont allumé les premières mèches. Malheureusement pour eux, la superbe action de Jouffre et Aboubakar, tout en finesse technique, a buté sur Sirigu, à l'horizontale pour la parade (15e). Les frissons soulevés par la vitesse de Monnet-Paquet face à Jallet n'ont abouti sur rien de concret et le tir d'Aliadière s'est envolé (34e).
Jusqu'alors, Zlatan Ibrahimovic s'était très peu montré. Visiblement frustré, le Suédois s'est rattrapé avec sa classe habituelle pour mener le PSG vers l'ouverture du score (41e). À l'initiative de l'action, Ibra se fend d'une aile de pigeon au milieu de terrain pour servir Jallet. Un premier décalage est fait, les Parisiens déroulent jusqu'à la frappe d'Ibra, seulement détournée par Audard au profit de Motta. Un miracle d'Audard (75e) et un but hors-jeu de Pelé (87e) plus tard, Laurent Blanc pouvait souffler.
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