Ligue 1 : Le Top des déclas de la 5e journée (Kombouaré, Vasseur, Cartier)
Mis à jour 14/09/2014 à 01:08 GMT+2
Kombouaré n'a pas gagné la Ligue des champions mais c'est tout comme, Jean-Luc Vasseur goûte une douce revanche, Alain Casanova s'inquiète pour Toulouse à l'extérieur : voici les petites phrases à retenir de la 5e journée de Ligue 1.
Kombouaré sur un nuage
On peut faire un nul à Bastia et avoir la sensation de soulever la Ligue des champions. C'est le cas d'Antoine Kombouaré qui a décroché un point avec Lens en Corse (1-1) et est plus que ravi de son début de saison.
C'est inespéré d'avoir sept points dans notre situation. On est chiants à jouer, on ne lâche rien, on est des pitbulls et on joue avec nos qualités. Même si j'aimerais voir mieux, ce qu'on fait est fabuleux. Le tout étant que cela tienne sur la durée.
Vasseur a rouvert le couvercle
Jean-Luc Vasseur en a gros sur la patate. Avant la réception de Toulouse, les Champenois n'avaient récolté qu'un point en quatre journées et sa tête était mise à prix. Un nouveau faux-pas et il risquait de voir son aventure se terminer précocement.
Il ne fallait pas jeter le Stade de Reims à la poubelle.
Casanova se gratte la tête
A l'extérieur, Toulouse n'y arrive pas. Trois déplacements, trois défaites. Forcément, Alain Casanova l'a un peu mauvaise d'autant que ses troupes se débrouillent bien sur leurs terres (deux victoires).
On n'est qu'à la cinquième journée, il ne doit pas exister une sorte de blocage mental parce qu'on joue à l'extérieur.
L'apprentissage fait partie du métier
Albert Cartier n'a pas voulu accabler Guido Milan. Son défenseur a pourtant sabré Metz par sa passe en retrait qui a envoyé Eysseric au but dans les arrêts de jeu. Mais l'entraineur du FC Metz s'est voulu compréhensif.
Les fautes, les vraies, sont celles qu'on ne sait pas corriger. J'espère que ce final servira pour la suite. Mon souci est d'avoir un groupe à l'écoute et capable de corriger ses erreurs. La L1 ne fait pas de cadeaux.
L'apprentissage fait partie du métier (bis)
Hubert Fournier a excusé Samuel Umtiti et sa défense coupable de grossières erreurs face à Monaco (2-1). Heureusement, Lopes était là pour sauver les meubles.
Notre charnière a peu de temps de jeu ensemble et les joueurs sont très jeunes en défense. Trois sur quatre ont moins de 23 ans. Il y a eu de la fébrilité.
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