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Face à Troyes (4-1), le PSG ne ralentit pas et décroche (déjà) le titre de champion d'automne

Martin Mosnier

Mis à jour 28/11/2015 à 19:16 GMT+1

Le Paris Saint-Germain s'est tranquillement imposé face au dernier du championnat, Troyes (4-1) lors de la 15e journée. Le club de la capitale est d'ores et déjà champion d'automne. Les buts parisiens ont été inscrits par Cavani, Ibrahimovic, Kurzawa et Augustin. Ayasse a réduit le score dans le temps additionnel.

Edinson Cavani (PSG)

Crédit: AFP

Quinzième journée et déjà un titre, certes honorifique, pour le PSG. Grâce à sa large victoire face à Troyes (4-1), sa neuvième consécutive en L1, Paris est d'ores et déjà assuré de virer en tête à la trêve. Voilà les hommes de Laurent Blanc champions d'automne, à 16 points (!) de leurs dauphins lyonnais et caennais à l'issue d'un match finalement un tout petit peu plus compliqué qu'il n'y paraît. Sur le papier au moins, cette rencontre était la plus déséquilibrée de la saison entre l'omnipotent PSG et la lanterne plus rouge que jamais, à 9 points du premier non-relégable. Mais le PSG, empêtré dans un 4-4-2 qui l'a déséquilibré en phase défensive, a attendu l'heure de jeu pour prendre le large.
Si Edinson Cavani a rapidement ouvert la marque d'une volée parfaite sur un extérieur du pied délicieux de Di Maria (20e), le PSG a mis du temps pour porter l'estocade. Le penalty d'Ibrahimovic (58e), la volée sublime de Kurzawa (67e) et la frappe à dix-huit mètres d'Augustin (84e) ont donné du mou à un collectif qui s'est exposé en première période.

Troyes avait pourtant bien démarré

Il a fallu un Trapp vigilant pour repousser deux sérieuses tentatives de Mavinga (10e) et surtout de Nivet (37e). Une vigilance dont il a manqué en fin de match sur une frappe d’Ayasse (90+1e). Les absences au coup d'envoi de Matuidi et Motta, laissés au repos jusqu'à l'heure de jeu, expliquent en partie pourquoi Paris s'est exposé plus qu’attendu. Bien sûr, Bernardoni, la petite perle de 18 ans dans le but troyen, a lui aussi brillé ce samedi face à Cavani (3e, 45e), Lucas (56e) et Kurzawa (77e). Mais Troyes a résisté. A force de plier, les Aubois ont fini par rompre. A force de plier, les Aubois ont fini par rompre. Comme tant d'autres au Parc cette saison. Ils n'ont pas à rougir et ont simplement payé le tarif habituel d'un PSG plus seul que jamais sur son trône.
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