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Quintero, Waris, La Mosson, Nice - Les 7 bonnes raisons de suivre la Ligue 1 ce samedi

Vincent Bregevin

Mis à jour 24/10/2015 à 00:23 GMT+2

LIGUE 1 - Rennes face à Waris, un autre son à La Mosson, la titularisation (ou pas) de Quintero : nous avons sélectionné pour vous 7 bonnes raisons de ne rien rater de la L1 ce samedi.

Moukandjo et Waris, héros lorientais face à Caen

Crédit: AFP

Parce que, mine de rien, il y a de la course à l'Europe dans l'air

Vous n'êtes pas convaincus par les affiches au programme ce samedi sur le papier ? Regardez plutôt le classement. Angers est deuxième avant son déplacement à Guingamp, Nice est cinquième avec un match en retard avant de jouer chez la lanterne rouge, le Gazélec, et le duel Lorient-Rennes, le 9e contre le 7e, promet un retour dans la course à l'Europe pour le vainqueur. Il y aura forcément des enseignements à tirer sur le haut du tableau samedi soir.
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Cheick Ndoye, le capitaine d'Angers, après la victoire du SCO face à Bastia (1-0).

Crédit: AFP

Parce que Rennes "retrouve" Waris

Tout le monde s'en souvient, Majeed Waris aurait pu être un joueur de Rennes. Mais après une histoire assez rocambolesque, c'est finalement Lorient qui a obtenu la signature de l'attaquant ghanéen, déjà auteur de 3 buts en 6 matches de championnat cette saison. Sur Twitter, les Merlus ne se sont pas gênés pour chambrer les Rennais avant ces "retrouvailles". De quoi motiver les hommes de Philippe Montanier pour répondre sur le terrain.

Parce qu'on veut voir Quintero, quoi qu'en pense Montanier !

Rennes n'a vraiment pas grand-chose à retenir de son humiliation à domicile face à Nice (1-4). S'il y en a une, c'est bien l'entrée de Juan Quintero. En vingt minutes à peine, le meneur colombien a immédiatement pris le jeu à son compte et signé sa première décisive sur le but de Kamil Grosicky. Dans un championnat où les joueurs spectaculaires ne sont pas légion, l'ancien de Porto a tout pour régaler les foules. Un peu moins son entraîneur, malheureusement…

Parce que Gazélec-Nice, c'est le grand écart

D'un côté, le Gazélec Ajaccio, bon dernier de Ligue 1 et plus mauvaise attaque du championnat avec quatre petits buts marqués. De l'autre côté, Nice, qui reste sur quatre victoires consécutives avec au moins trois buts inscrits à chaque fois, et équipe la plus prolifique cette saison en L1 avec 24 buts. Sur le papier, clairement, c'est le choc des extrêmes en attaque. Et ça risque de se voir aussi sur le terrain.
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Ben Arfa survole les débats...

Crédit: Eurosport

Parce que Guingamp et Angers, c'est du top niveau en ce moment

On parle plus d'Angers que de Guingamp en ce moment. Mais les Guingampais n'ont finalement pas grand-chose à envier aux Angevins. Hormis leurs performances sur les trois premières journées. Car sur les sept dernières, les deux équipes affichent quasiment le même bilan : 14 points inscrits chacune et une différence de buts identique (+2). Seuls le PSG (17 points), Saint-Etienne (15) et Caen (15) ont été plus performants sur cette période. Nice suit avec 13 points, mais en 6 matches.
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Jimmy Briand lors de Guingamp-Lyon (saison 2015-2016)

Crédit: Panoramic

Parce que La Mosson change de disque

Montpellier a vraiment du mal à trouver son rythme depuis le début de la saison. Peut-être qu'un petit changement de son fera du bien aux hommes de Roland Courbis. Pour la venue de Bastia, il y aura ainsi une nouvelle musique au moment de l'entrée des joueurs sur la pelouse. Vous pouvez la découvrir ici. Pour savoir si elle aura inspiré les Héraultais, il faudra en revanche attendre le résultat du match au coup de sifflet final.

Parce que Boudebouz n'attendait peut-être que ses retrouvailles avec Bastia

Pour l'instant, on ne peut pas dire que le transfert de Ryad Boudebouz à Montpellier soit une réussite. L'international algérien n'a toujours pas marqué le moindre but en 10 matches de L1 avec le club héraultais, et il a même manqué son tout premier penalty en championnat au début du mois, lors de la défaite face à Lille (2-0), après 16 tentatives réussies. La venue de Bastia, dont il a porté les couleurs ces deux dernières saisons, sonnera-t-elle le réveil de Boudebouz ? Réponse samedi.
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Ryad Boudebouz lors de Troyes-Montpellier (saison 2015-2016)

Crédit: Panoramic

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