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La Corée du Sud à l'honneur, le coup de sang d'Amalfitano : les tops et les flops de samedi

Glenn Ceillier

Mis à jour 19/11/2017 à 12:19 GMT+1

LIGUE 1 – Les anciens de National ont frappé pour Strasbourg, la Corée du Sud a été mise en avant lors de Dijon-Troyes alors que la finition toulousaine a péché : voici les tops et les flops de ce samedi en L1.

La Corée du Sud à l'honneur, le coup de sang d'Amalfitano : les tops et les flops de samedi

Crédit: Eurosport

Les tops

  • La cadence folle de Cavani
On ne cesse de le répéter. Mais comment faire autrement ? C'est une telle machine à buts qui ne semble jamais s'enrayer. Ce samedi, Edinson Cavani a encore démontré son incroyable efficacité face à Nantes. Le serial-buteur uruguayen a cadré 4 de ses 5 tirs. Et en a mis deux au fond. Il s'est ainsi offert un doublé. Le voilà avec 15 buts en 13 journées de L1. Une première en D1 depuis Salif Keita (Saint-Etienne) en 1971/72. Avec 149 buts, il se rapproche du record de Zlatan Ibrahimovic, meilleur buteur de l’histoire de Paris (156 buts). Et vu son rythme, ce n'est plus qu’une question de semaines pour qu’il le double.
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15 buts après 13 journées : Cavani est sur des bases inédites depuis 46 ans !

  • Le duel sud-coréen a tenu ses promesses
Ce n'est pas courant en L1. Ce Dijon-Troyes donnait l'occasion à deux joueurs Sud-Coréens de se croiser sur les pelouses de l'élite française. Et les deux n'ont pas déçu leurs supporters. Hyun-jun Suk a ouvert le score pour Troyes (0-1, 19e) avant de voir son compatriote Chang-hoon Kwon lui répondre de la plus belle des manières. Le Dijonnais a d'abord offert le but du 2-1 à Julio Tavares avant de marquer d'une jolie frappe croisée (3-1). Les supporters sud-coréens qui suivaient ce match n'ont pas dû le regretter.
  • Les anciens de National font de la résistance à Strasbourg
En l'absence de Nuno Da Costa et Martin Terrier (suspendus), Strasbourg a pu compter sur ses piliers de ses années passées. Titulaires, Jérémy Blayac et Stéphane Bahoken ont marqué chacun contre Rennes (2-1). Leur premier but de la saison en L1. Le clin d'œil est amusant : les deux ont joué en National avec le Racing et ont contribué aux montées successives du club.
  • La confiance engrangée par Pastore
Supporter parisien ou pas, c'est souvent un plaisir de voir Javier Pastore évoluer sur une pelouse. Mais pour cela, il faut que son corps le laisse un peu tranquille. Et en ce moment, cela semble le cas. Ce samedi, l'Argentin a ainsi pu engranger de la confiance. Pour sa deuxième titularisation de rang en championnat, l'Argentin a délivré une passe décisive et a trouvé le chemin des filets ! C'est la première fois qu'il combine les deux lors d'un même match avec le PSG en L1 depuis le 13 mars 2016. Les supporters parisiens croisent les doigts pour que ses blessures ne réapparaissent pas…
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Pastore : "Ça fait du bien de jouer"

Les flops

  • La tactique frileuse de Ranieri
Evidemment, cela peut se comprendre et cela se respecte. Mais Claudio Ranieri y est allé un peu trop fort. Son onze de départ ne comptait qu'un seul joueur à vocation offensive : Emiliano Sala. Son pari très défensif a été payant un peu plus d'une demi-heure. Mais ensuite, Paris a su profiter des erreurs nantaises pour faire écrouler ce mur jaune. Nantes, réputé pour la solidité de sa défense cette saison, n'avait peut-être pas besoin d'aller jusque-là.
  • Le coup de sang inadmissible d'Amalfitano
C'est un pétage de plomb difficile à comprendre. Après avoir pris un coup involontaire au visage, Morgan Amalfitano a fauché Dimitri Liénard par derrière lors de Strasbourg - Rennes. Un geste d'agacement qui n'a pas laissé le choix à l'arbitre : un rouge direct, on ne peut plus logique. Mais c'est le comportement d'Amalfitano qui interroge. Alors que Rennes avait relevé la tête après une première période insipide, il a plombé son équipe. Tout ça avec un geste inutile.
  • La finition toulousaine
On aurait pu souligner l'abnégation de Metz. Mais ce qui nous a frappé ce samedi, c'est bien l'incapacité de Toulouse à finir ses actions. A 11 contre 10 pendant la majeure partie de la rencontre, le TFC a accumulé les occasions. Mais a péché dans le dernier geste. Une statistique résume bien les choses : le club de la Ville Rose a tenté 20 tirs et en a cadrés seulement 2…
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