Mercato - PSG - Le FC Séville entre dans la danse pour arracher Javier Pastore cet hiver

C’était en 2011. Histoire de frapper un grand coup sur le marché des transferts, les nouveaux propriétaires qataris décident d’investir 42 millions sur Javier Pastore, pépite argentine évoluant à Palerme. Un pari sur l’avenir et un signal fort au reste de l’Europe. Six ans plus tard, l’histoire d’amour entre le club parisien et "El Flaco" semble toucher à sa fin.

Depuis l’arrivée de Kylian Mbappé et de Neymar l’été dernier, l’Argentin a dégringolé dans la hiérarchie offensive parisienne et a vu son temps de jeu, déjà fortement limité par les blessures, réduire comme peau de chagrin (6 matches de Ligue 1). Alors, forcément, les rumeurs d’un départ, alors que le PSG doit vendre cet hiver pour rentrer dans les clous du fair-play financier, (re)font surface.

D’après Sport, c’est le FC Séville qui a fait du fin milieu de terrain sa priorité pour cet hiver. C’est Eduardo Berizzo, entraîneur argentin du club sévillan, qui a choisi le nom de Pastore. Outre des relations cordiales entre deux compatriotes, le coach du 6e de Liga mise sur l’attractivité de la Liga pour convaincre l’Argentin, intéressé par le challenge selon le quotidien, de rejoindre l’Andalousie.

Si Sport s’avance un peu affirmant que Pastore "est sur le marché depuis août dernier", l’Argentin, au même titre de Lucas ou Angel Di Maria, fait partie des candidats au départ à Paris. L’idée est simple : le club de la capitale doit récupérer des liquidités rapidement pour satisfaire les demandes du Fair-Play financier après son été stratosphérique. Entre 75 et 80 millions d'euros à en croire les derniers échos médiatiques. Alors, certains joueurs pourraient être bradés.

C’est le cas de Pastore puisque le quotidien catalan affirme que Paris ne réclamerait "que" 20 millions d’euros pour son joueur. Une somme que l’Inter Milan serait disposée à offrir au club parisien mais que Séville espère détourner en proposant un prêt avec option d’achat à Paris. Une option qui a peu de chances d’aboutir mais qui aurait les préférences de l’Argentin, plus intéressé par l’Espagne que l’Italie. Il n’empêche, pour Pastore, la fin n’a jamais semblé aussi proche au PSG.