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PSG - Benfica (3-0) : Paris sur une autre planète

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 03/10/2013 à 08:06 GMT+2

Auteur d’une première demi-heure exceptionnelle, le PSG a vaincu le Benfica Lisbonne (3-0), lors de la 2e journée de la Ligue des champions.

Champions League PSG Benfica Zlatan Ibrahimovic

Crédit: Panoramic

Une démonstration. Il n’y a pas d’autre mot. Mercredi soir, le Paris Saint-Germain a livré une partie de très haut niveau, notamment une première demi-heure d'exception, face au Benfica Lisbonne, qu'on imaginait quand même un peu plus proche du PSG. Dans un mauvais soir des Parisiens, il l’aurait sans doute été. Mais pas mercredi tant le club de la capitale a écrasé les Portugais de son emprise collective. Paris, vainqueur 3-0, décroche ainsi sa deuxième victoire en autant de rencontres. Les huitièmes de finale se rapprochent déjà pour les hommes de Laurent Blanc.
L’an passé, le PSG s’était fait surprendre par un club portugais, lors de la 2e journée de la C1. C’était à Porto (1-0) et Paris était passé à côté. Mercredi, avec Matuidi et Alex, finalement aptes au service, le champion de France a rapidement mis la main sur la rencontre et nullement laissé la place au doute. Dès la 4e minute de jeu, Paris a ouvert le score au terme d’une action d’école. Avec un Zlatan à l’origine, à cinquante mètres du but, et à l’arrivée, concluant un enchaînement dont van der Wiel, Verratti et Matuidi ont été les acteurs principaux (1-0, 4e). Les deux derniers nommés, ainsi que Zlatan, auteur d’une talonnade lumineuse, ont remis ça sur le deuxième but, signé Marquinhos (2-0, 30e). Pour que la fête soit complète, le PSG y est allé de son petit but habituel sur coup de pied arrêté. Corner de Motta, tête d’Ibra. Basta (3-0, 30e).
Cavani malheureux
Trois buts en une demi-heure, ça pousse forcément à desserrer l’étreinte. Les hommes de Laurent Blanc l’ont légèrement fait après le deuxième but de Zlatan. Benfica a mieux terminé la première période qu’il ne l’avait commencée. Mais le mal était fait depuis longtemps. La suite ? Deux grosses occasions pour le malheureux Cavani (61e, 74e) et un toro géant de quarante-cinq minutes. Avec la particularité de faire tourner en rond une bête achevée depuis belle lurette.
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