Les plus populaires
Tous les sports
Voir tout

Le choc PSG-City c’est aussi une question de gros sous : la preuve en 3 images

Clovis Museux

Mis à jour 06/04/2016 à 01:10 GMT+2

LIGUE DES CHAMPIONS – L’affrontement entre le PSG et Manchester City en quart de finale de la Ligue des Champions (20h45) marque un duel entre deux des clubs les plus riches au monde. Avec des recrues stars et des millions dépensés à gogo pour s’offrir un effectif digne de ce nom, les deux équipes ont utilisé les mêmes méthodes pour grandir en Europe. La preuve en 3 images.

Le cashico

Crédit: Eurosport

Sur le marché des transferts, City dépense plus…

Visuel Cashico 4
En 2011, QSI débarque à Paris et change la face du PSG. De son côté, City est aux mains de Khaldoon Al Mubarak qui a racheté le club en 2008. Yaya Touré, David Silva ou Vincent Kompany sont déjà là. Peu importe, les Skyblues continuent chaque été à dépenser dans tous les sens pour des stars confirmées ou en devenir à l’image du Kun Agüero. Au final, c’est le club mancunien qui a dépensé plus que son adversaire du soir sur la même période.

Et paye aussi plus cher ses joueurs…

Visuel Cashico 2
Si l’on se réfère aux trois plus gros transferts effectués par les deux clubs sur la même période, on se rend compte que les Citizens ont également l’avantage sur les plus gros montants versés. Des transferts faramineux qui réussissent plutôt au PSG. Les trois joueurs les plus chers du club parisien jouent un rôle actif dans leur saison actuelle, même si Edinson Cavani a perdu sa place de titulaire. On ne peut pas dire la même chose pour Manchester City…

Le flop Mangala

Visuel Cashico 3
Etre actif et dépensier sur le marché des transferts, pourquoi pas, encore faut-il faire des bonnes affaires. Avec Verratti, Paris a acheté un joyau à moindre coût qui est devenu depuis une pièce essentielle de l’équipe. Du côté des Citizens, Aguëro a parfaitement rentabilisé l’investissement qu’a fait le club anglais pour l’acquérir. Tout l’inverse d’Elaquim Mangala acheté à prix d’or et décevant pour l’instant. Annoncé comme une terreur à son arrivée de Naples, Ezequiel Lavezzi n’a pas démérité mais n’a jamais réellement justifié son prix d’achat élevé.
Rejoignez Plus de 3M d'utilisateurs sur l'app
Restez connecté aux dernières infos, résultats et suivez le sport en direct
Télécharger
Partager cet article
Publicité
Publicité