Benzema - Giroud, leaders, grande équipe : Le Top des déclas à la veille de France - Australie

J'avais confiance en Karim et j'ai toujours confiance en Karim mais j'ai aussi confiance en Olivier. La hiérarchie est là, de par les joueurs qui s'imposent, avec la particularité, en ce qui concerne Karim et Olivier, que ce sont des joueurs avec des caractéristiques différentes.

Il faut se mettre dans l'état d'esprit dans lequel on devra être en novembre. Mais les certitudes peuvent être vite balayées du jour au lendemain.

Je ne suis pas joueur. Avec le staff, on est là pour guider, orienter, fixer les règles de vie, les choix sur le terrain mais les acteurs sont les joueurs. Certains prennent la parole mais il n'y a pas que la parole et le geste, il y a aussi ce qu'ils font sur un terrain.

Quand on regarde l'histoire de la Coupe du monde, on se dit que la France peut atteindre les quarts de finale, voire aller plus loin.

Quand on suit le football et qu'on voit l'équipe de France, avec toutes ses individualités, si ce n'est pas une grande équipe, qui est une grande équipe ?

Je souhaite que tous ceux qui rentrent aient la même attitude et influence sur l'équipe. Il a faim, il a envie, il a beaucoup souffert. A lui de maintenir ça.

J'essaye d'alterner pour que chacun ait du temps de jeu. C'est vrai qu'ils sont proches l'un de l'autre. Je suis globalement satisfait d'eux mais ils peuvent faire plus.

Comme tout attaquant, il a besoin d'être en confiance pour marquer, et j'espère qu'il sera toujours en manque de confiance pendant 90 minutes. Je lui souhaite le meilleur pour la suite.

Il a gagné beaucoup de trophées, c'est un joueur fantastique. J'ai hâte de jouer contre lui. Il fait partie d'une liste très huppée de joueurs qui pourraient gagner le Ballon d'Or. Ce serait un grand honneur pour la France et les Français qu'il détrône Messi.