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Coupe du monde : Les 10 phrases qui prouvent que l’Espagne ne s'estime pas encore finie

Nicolas Sbarra

Mis à jour 15/06/2014 à 00:41 GMT+2

Au lendemain de la claque reçue face aux Pays-Bas vendredi soir (5-1), les Espagnols regardent vers l’avant et ne veulent pas tout remettre en cause.

Sergio Ramos tente de remotiver Iker Casillas face aux Pays-Bas

Crédit: Panoramic

1. Pas chamboulés

L’Espagne n’a pas vécu un vendredi ordinaire. Subir sa deuxième pire défaite en Coupe du monde, ce n’est pas habituel. Mais Vicente Del Bosque veut faire comme si de rien n’était.
Aujourd'hui, je n'avais pas prévu de venir mais cette conférence de presse envoie un signal de normalité.

2. L’isolement n’est pas la solution

Del Bosque ne veut pas que son groupe se referme sur lui-même pour ressasser cette déroute.
Je ne crois pas qu'il soit bon de s'isoler, il faut montrer de la modération dans la victoire comme dans la défaite.

3. La positive attitude

Beaucoup de choses n’ont pas été pour la Roja, mise en difficulté collectivement et par certaines individualités. Pourtant, Del Bosque retient autre chose.
Je préfère être positif et me concentrer sur notre première période où tout se déroulait bien pour nous.
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Vicente Del Bosque s'est présenté devant les journalistes ce samedi

Crédit: Eurosport

4. Aucune excuse

Aucun Espagnol ne compte se chercher d’excuse pour expliquer la défaite, à l’image de Sergio Ramos.
Les excuses, c'est pour les perdants, l'Espagne a une mentalité de vainqueur et cela ne va pas changer.

5. Les Espagnols ne sont pas trop vieux

Certains joueurs d’expérience ibériques n’ont pas rayonné comme lors des précédentes compétitions internationales. Mais non, leur époque n’est pas encore révolue selon leur sélectionneur.
Nous les avons emmenés parce que nous sommes convaincus qu'ils sont les meilleurs.

6. Pas de bouc émissaire

Certains individualités, comme Iker Casillas, ont été pointées du doigt après la rencontre. Del Bosque ne veut pas les accabler.
Il est possible qu'il y ait des changements mais ce ne serait pas pour stigmatiser quelqu'un.

7. La tête sur les épaules

A en croire Sergio Ramos, les Espagnols gardent confiance en eux.
Il ne faut pas non plus devenir fous, la force de ce groupe est de se relever de ses moments difficiles.
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Sergio Ramos et Jordi Alba (Espagne) en conférence de presse au lendemain de la déroute face aux Pays-Bas

Crédit: AFP

8. Reculer pour mieux sauter

Sergio Ramos compte se servir de l’ampleur de la défaite pour mieux rebondir, plutôt que de mettre la tête dans le seau.
Ce 5-1 est un supplément de motivation pour le prochain match.

9. Ne leur parlez pas de fin de cycle

Titrés en 2008, 2010 et 2012, les Espagnols refusent d’être considérés comme des sénateurs en bout de course. Sergio Ramos est clair à ce sujet.
Parler d’une fin de cycle serait une vraie folie.

10. Ils n’ont pas dit leur dernier mot

S’ils comptent trois points de retard sur les Pays-Bas et le Chili, les coéquipiers de Sergio Ramos ont encore deux matchs pour terminer dans les deux premiers du groupe.
Ils ne nous ont pas encore renvoyés à la maison, nous allons donner toute notre âme jusqu’à la dernière minute.
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