Visuel - C’est cruel pour Ranieri mais Shakespeare a tout changé pour Leicester
ParEurosport
Publié 03/04/2017 à 22:28 GMT+2
PREMIER LEAGUE - Nommé en remplacement de l’idole Claudio Ranieri, Craig Shakespeare a relancé un Leicester en perte de vitesse. Qualifié pour les quarts de finale de C1 et relancé en championnat, les Foxes peuvent même vivre une fin de saison exaltante.
Le romantisme en football est-il mort ? En tout cas, du côté de Leicester, il a été sacrifié sur l’autel de l’efficacité. Alors que le monde du football s’était ému du licenciement de Claudio Ranieri le 23 février dernier, les résultats donnent pour l’instant raison aux propriétaires des Foxes.
Limogé après le huitième de finale aller à Séville (défaite 2-1), Claudio Ranieri a vu son successeur qualifié les Foxes en quarts de finale pour la première fois de leur histoire. Mais c’est surtout en Premier League que Leicester s’est relevé. Dix-septièmes au départ de l’Italien, les champions en titre pointent maintenant à la 13e place. Surtout, ils sortent d’une série de quatre victoires consécutives. Le jour et la nuit. La preuve en une image : si le championnat avait commencé au moment de la prise de pouvoir de Shakespeare, le club du centre l’Angleterre serait deuxième, derrière Tottenham mais devant Crystal Palace.
Évidemment, tout attribuer à Shakespeare serait partial. Car certains joueurs se sont bien réveillés. Par exemple, un certain Jamie Vardy, auteur de cinq petits buts depuis le début de saison, a marqué quatre buts sur les quatre derniers matches. Comme quoi, le talent des Foxes n’a pas disparu. Et ça, Shakespeare l’avait bien compris.
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