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Ambianceur, Cana, médisants, Payet : Les 7 déclas à retenir de la conf’ des Bleus

Martin Mosnier

Mis à jour 13/08/2016 à 00:38 GMT+2

EURO 2016 – Le sourire d’Adil Rami, les punchlines d’Olivier Giroud ou la forme éblouissante de Dimitri Payet : voici ce qu’il faut retenir des conférences de presse des Bleus ce samedi à Clairefontaine.

Adil Rami à Clairefontaine

Crédit: AFP

Giroud prépare ses punchlines

Olivier Giroud est un excellent générateur de proverbe. Entre sagesse et langue de bois, il en a offert un dont il a semblé assez fier ce samedi à Clairefontaine.
J’estime que la construction de la route vers la réussite n’est jamais terminée. Je l’aime bien celle-là.

Payet au centre de l’attention

Adil Rami et Olivier Giroud ont passé près de 35 minutes devant les médias ce samedi. Sans surprise, ils ont passé près de la moitié de leur temps à évoquer le cas de Dimitri Payet. Le Sévillan a parfaitement résumé le sentiment général autour de l’incandescent Réunionnais. C’est clair, net et précis.
Payet fait partie des très grands joueurs européens.
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Dimitri Payet, énorme lors de France-Roumanie

Crédit: Panoramic

Pogba-Griezmann ? Pas de panique

Paul Pogba et Antoine Griezmann n’ont eu pas le rayonnement attendu face à la Roumanie samedi. Pour Adil Rami, ce n’est qu’une question de temps. Le Sévillan ne se fait pas de mouron pour ses deux équipiers.
Ce n’était pas un match facile pour eux. Il y avait peu d’espace et ils étaient très attendus. Je les ai trouvés plutôt bien. A 100%, ils peuvent être spectaculaire, hier un peu moins.

Rami est bien à Séville

Alors qu’Unai Emery devrait très prochainement s’engager avec Paris, Adil Rami n’a pas fait de mystère sur son futur. Même s’il doit beaucoup au technicien basque, l’ancien Lillois n’a aucune intention de changer d’air cet été.
Je survole ce qui se passe à Séville. Je n’ai rien à reprocher à Séville Je suis bien, je joue. C’est grâce à Séville que je suis là.

Giroud et les médisants

Il n’a pas oublié. Les sifflets, les noms d’oiseaux, les pancartes désagréables : Olivier Giroud a vécu un début de préparation assez délicat. Il reste désormais sur huit buts lors de ses huit derniers matches en équipe de France. Ceci expliquant sans doute cela.
Plusieurs personnes m’ont dit que j’étais meilleur dans l’adversité. Mais je n’ai pas toujours envie de me battre contre les médisants.
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Olivier Giroud

Crédit: AFP

L’Albanie sans Cana, c’est mieux comme ça

Les Bleus sont attentifs et, pour dire les choses, ne sont pas franchement débordés dans le château de Clairefontaine. Avant de se présenter devant la presse, Olivier Giroud a eu le temps de jeter un œil sur ses prochains adversaires la Suisse et l’Albanie. Et si les deux équipes ne se sont pas quittés sur un nul (victoire des Suisses, 1-0), ce qui aurait sans doute arrangé les Français, un fait de match a particulièrement retenu l’attention du Gunner.
J’ai vu que Cana a été expulsé, ce n’est pas une mauvaise nouvelle pour nous.

Rami a retrouvé la banane

Critiqué pour son retour en Bleu après une prestation délicate face au Cameroun, Adil Rami avait montré son agacement aux journalistes à l’issue de France-Ecosse. Mais c’est déjà de l’histoire ancienne. Rassurez-vous, le Sévillan a retrouvé le sourire.
Le Rami ambianceur ? Il n’est jamais parti.
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