Libres 1 : Nico Rosberg (Mercedes) en tête, son coéquipier Lewis Hamilton en tête-à-queue
Mis à jour 01/07/2016 à 12:18 GMT+2
GRAND PRIX D'AUTRICHE - Nico Rosberg (Mercedes) a débuté les essais libres de la 9e manche du Mondial par un meilleur chrono, vendredi à Spielberg. En 1"07"373, le leader allemand du championnat a devancé de 0"357 son coéquipier, Lewis Hamilton, qui a effectué un tête-à-queue.
Nico Rosberg (Mercedes) n'est pas pour rien le double vainqueur en titre du Grand Prix d'Autriche. Vendredi, l'Allemand l'a rappelé à son coéquipier Lewis Hamilton en dominant le premier entraînement sur la piste bucolique de Spielberg.
Dans les montagnes de Styrie, le n°1 mondial a établi en 1'07"373 le chrono de référence des essais libres 1, battant son collègue britannique de 0"357. Si, durant cette session, Nico Rosberg a piloté sur du velours à part un off, il n'en a pas été de même pour l'Anglais. Immobilisé par un tête-à-queue, il a failli être percuté par Romain Grosjean. Au prix d'un freinage d'urgence achevé par un travers, le Français de Haas a pu éviter l'accident.
Par ailleurs, en marge de la compétition Mercedes a précisé la remise à neuf de son moteur, endommagé au au Grand Prix d'Europe, à Bakou. L'écurie de Brackley a refait entièrement son bloc propulseur en installant ses cinquièmes turbo et MGU-H, ses quatrièmes batterie d’énergie et boîtier électronique de contrôle et ses troisièmes V6 et MGU-K. En d'autres termes, le triple champion du monde n'échappera pas cette saison à des pénalités de grille à la mise en place des sixièmes éléments sur sa W07.
Sebastian Vettel a aussi eu ses problèmes. Troisième à 0"649, l'Allemand ne sera pas le premier poursuivant des Flèches d'argent, dimanche à 14h00. Ferrari a en effet confirmé une pénalité de cinq places pour un changement de boîte de vitesses avant le cycle obligatoire.
Son coéquipier de la Scuderia, Kimi Räikkönen, quatrième à 0"849, Daniel Ricciardo a été le meilleur pilote de l'écurie locale Red Bull, non sans mal. Cinquième à 1"155, l'Australien a été surpris par une rentrée au stand ratée du Suédois Marcus Ericsson (Sauber) puis il est sorti de la piste en fin de session. Rien à voir toutefois avec le bris de suspension avant qui a abrégé la séance de son coéquipier, Max Verstappen.
Le Néerlandais a touché deux fois les bordures bombées jaunes sensées dissuader les pilotes de trop élargir les trajectoires en virages. Assez remonté, le vainqueur du Grand Prix d'Espagne a taxé ces "trucs jaunes" d' "incroyable" et des "très dangereux".
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