GP d'Italie - Les notes : Massa (Williams), Pérez (Force India) et Ericsson (Sauber) ont régalé
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Mis à jour 07/09/2015 à 11:26 GMT+2
FORMULE 1 - Felipe Massa (Williams), Sergio Pérez (Force India) et Marcus Ericsson (Sauber), respectivement 3e, 6e et 9e à Monza, ont maximisé le potentiel de leurs voitures dimanche.
Felipe Massa (Williams) au Grand Prix d'Italie 2015
Crédit: AFP
Felipe Nasr (Sauber) : 3
J'ai aimé : rien.
Je n'ai pas aimé : excité au premier virage, il a réduit la course de Romain Grosjean (Lotus) à un tour.
En bref : il a resigné depuis un moment pour 2016 et ça l'autorise à être médiocre.
Fernando Alonso (McLaren) : 4
J'ai aimé : son esprit combatif en course.
Je n'ai pas aimé : la frustration des années Ferrari n'est pas passée, on veut bien comprendre, mais il a été trop sévère dans ses déclarations vis-à-vis de la Scuderia samedi.
En bref : un peu à cran.
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Fernando Alonso (McLaren) au Grand Prix d'Italie 2015
Crédit: McLaren
Kimi Räikkönen (Ferrari): 4
J'ai aimé : sa remontée.
Je n'ai pas aimé : il est resté en piste pour bloquer Rosberg. Même si ça n'a duré que le temps d'une Parabolique.
En bref : tête-à-queue à Montréal, patinage à Spielberg, embrayage à Monza… Le Finlandais est le surpris de l'année.
Nico Rosberg (Mercedes) : 5
J'ai aimé : il a sûrement dit la vérité en parlant du moteur "très très vieux" dont il avait hérité pour la qualification et la course. Mercedes devait l'entendre.
Je n'ai pas aimé : malchanceux au départ, il a perdu deux places en contournant la Ferrari de Kimi Räikkönen.
En bref : il n'est plus le fils préféré chez Mercedes, mais il ne va pas baisser les bras.
Marcus Ericsson (Sauber) : 6
J'ai aimé : au moins lui, il a assuré. Sauber peut compter sur lui.
Je n'ai pas aimé : il a cédé sa 8e place à Ricciardo dans le dernier virage. Cruel quand même.
En bref : matériellement mieux servi qu'on imagine, il n'a pas un talent fou, mais sait ramener des points.
Sergio Pérez (Force India) : 7
J'ai aimé : il était le patron ce week-end. Devant Hülkenberg sur des circonstances en qualification, il a confirmé sa supériorité en course.
Je n'ai pas aimé : rien.
En bref : il tire tout le monde vers le haut chez Force India et ferait une bonne recrue pour... Lotus.
Daniel Ricciardo (Red Bull) : 8
J'ai aimé : sa remontée jusqu'à la 8e place, prise à Marcus Ericsson (Sauber) dans le dernier tour
Je n'ai pas aimé : sa malchance et la rafale de pénalités moteur qui l'a obligé à partir de la dernière ligne.
En bref : est-ce la (probable) décision de Red Bull de quitter Renault qui lui a donné des ailes ?
Felipe Massa (Williams) : 8
J'ai aimé : inflexible devant Valtteri Bottas pour ce qui devait être un podium.
Je n'ai pas aimé : condamné à subir un undercut de la part de Rosberg. Toujours la même histoire !
En bref : pas rouillé.
Sebastian Vettel (Ferrari) : 9
J'ai aimé : son départ, sa sagesse dans les roues de Lewis Hamilton au n°1.
Je n'ai pas aimé : rien.
En bref : l'assurance tout risque de Ferrari.
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Lewis Hamilton (Mercedes), George Lucas, Sebastian Vettel (Ferrari) sur le podium du Grand Prix d'Italie 2015
Crédit: Panoramic
Lewis Hamilton (Mercedes) : 9
J'ai aimé : le spectacle en piste et dans le paddock. Trois fois arrivé à moto, trois fois reparti en offrant un burn au tifosi.
Je n'ai pas aimé : il a enlevé ses écouteurs mais pas sa casquette pendant l'hommage à feu Justin Wilson. Il a expliqué ne pas savoir que c'était une minute de silence. Un couac dont il s'est platement excusé.
En bref : une valeur ajoutée extraordinaire pour la Formule 1. Un superbe futur triple champion du monde
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