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Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 01/09/2010 à 12:42 GMT+2

Pour Eric Boullier, le directeur de Renault F1, Vitaly Petrov a commis samedi à Spa une faute qui l'a ramené à sa condition de pilote en apprentissage.

2010 GP de Belgique Renault Petrov

Crédit: Renault F1 Limited - LAT

De sa 23e place au départ, Vitaly Petrov a fait une remontée remarquable jusqu'à la 9e finale, dimanche sur le circuit de Spa-Francorchamps. Cependant, il aurait sûrement pu faire mieux. D'une part, son équipier Robet Kubica a manqué de peu la 2e place à cause d'un arrêt au stand approximatif de sa part, d'autre part Felipe Massa (Ferrari), 4e, n'a pas fait un week-end ébouriffant. En somme, le Russe de Renault avait la 4e place belge à sa portée.
Sa glissade suivie d'un contact éliminatoire dans un mur de pneus à l'attaque de la Q1, samedi, l'a malheureusement empêché de briller au volant d'une R30 nouvellement boostée par le F-duct. Rétrospectivement, c'est ce qui gêne un peu Eric Boullier. "C'est parfois dur de pardonner une telle erreur, mais c'est la F1 et ce n'est pas facile", a confié le directeur français, mardi, au site d'Autosport. Toujours positif, le patron d'Enstone a enchaîné en rappelant : "Il a fait une bonne course. Il a évité tous les pièges lies à la pluie et je dois dire qu'il a produit une très bonne performance."
Impeccable 5e avant la trêve, en Hongrie, Vitaly Petrov reste donc un débutant qui apprend de ses erreurs, ce qui ne dissipe pas les interrogations sur ses chances de garder son poste en 2011. "Il a ramené des points mais nous avons besoin d'un solide deuxième pilote", a résumé Eric Boullier. Le Russe a six week-ends de Grand Prix pour convaincre définitivement.
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