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Fernando Alonso (McLaren) autorisé à participer... aux essais libres 1 à Shanghai

ParAFP

Publié 14/04/2016 à 14:41 GMT+2

GRAND PRIX DE CHINE - Fernando Alonso (McLaren) n'a pas donné aux médecins de la FIA toutes les garanties attendues pour courir ce week-end à Shanghai. Pour l'instant, il n'est autorisé à rouler que vendredi matin.

Fernando Alonso (McLaren) au Grand Prix d'Australie 2016

Crédit: McLaren

Fernando Alonso, victime d'un violent accident en Australie en mars qui l'a privé du Grand Prix de Bahreïn, a été autorisé à participer à la première séance d'essais libres du Grand Prix de Chine à Shanghai, vendredi.
"Fernando Alonso a été autorisé par la FIA à prendre le volant en Chine, sous réserve de nouveaux examens effectués après la première séance d'essais libres vendredi", écrit McLaren dans un communiqué. "Les commissaires de course ont pris l'avis du délégué médical de la FIA qui, après consultation du médecin principal du Grand Prix de Chine et du médecin du pilote, estime que le pilote est capable, en l'état actuel, de participer à l'événement", selon le communiqué de la FIA cité par McLaren.
Le double champion du monde a affirmé jeudi se sentir "prêt à 120%" à courir. "J'étais mentalement à 100% à Bahreïn mais physiquement je souffrais beaucoup", a expliqué l'Espagnol âgé de 34 ans. "J'étais prêt à tenter le coup et voir si je pouvais surmonter la douleur d'une côte cassée, mais aujourd'hui, je suis mentalement prêt à 120% et physiquement à 100%. Le niveau de douleur est de 0", a-t-il assuré à la veille des premiers essais libres.
"Je sens que je serai à 100%. Si je ne le pensais pas, je n'aurais pas fait le voyage (en Chine). Je verrai comment ça se passe après quelques tours. Si ça ne va pas, je serai le premier à le dire", a-t-il affirmé.
Alonso a subi un effroyable accident lors du GP d'ouverture le 20 mars à Melbourne, s'en sortant miraculeusement avec un genou endolori et une côte cassée.
Il avait reconnu après coup avoir de la "chance" d'être en vie et d'être sorti à peu près indemne de sa voiture réduite en pièces.
Mais la FIA ne l'avait pas autorisé à reprendre le volant au GP suivant, à Bahreïn le 3 avril, estimant que "l'amélioration (de son état de santé) n'était pas suffisante pour lui permettre de courir en toute sécurité".
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