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Les enjeux du Grand Prix de Corée

ParF1i

Mis à jour 05/10/2013 à 14:49 GMT+2

De notre partenaire F1i

Les enjeux du Grand Prix de Corée

Crédit: F1i

Vers un quatrième succès d’affilée ?
Avec trois victoires d’affilée dans sa besace, Sebastian Vettel a donné un coup d’arrêt aux espoirs de ses adversaires pour le titre mondial. Avec 60 points d’avance sur son plus proche poursuivant (Fernando Alonso) et 96 sur le troisième (Lewis Hamilton), on voit mal comment l’Allemand ne sera pas titré, peut-être d’ici le Japon. Car un nouveau succès en Corée est plus que probable : non seulement parce que la Red Bull survole les monoplaces rivales et que sa supériorité dans les virages lents devrait faire des dégâts dans les premier et troisième secteurs, mais aussi parce que Sebastian a définitivement le “Yeongam style”. S’il n’avait pas connu une casse moteur en 2010 alors qu’il menait, il aurait gagné toutes les éditions du Grand Prix de Corée (il a mené tous – sauf 12 – des 165 tours disputés sur le Korea International Circuit !). Déjà tourné vers sa carrière endurance avec Porsche, son équipier Mark Webber partira en outre avec une pénalité de 10 places sur la grille de départ, à la suite de l’épisode du taxi Alonso à Singapour.
Déjà en 2014...
Ayant abandonné tout espoir de titre, la Scuderia a annoncé qu’elle testerait la fiabilité de certaines pièces pour 2014 lors des séances d’essais libres. Mais elle restera concentrée sur les dernières manches de la saison, car Mercedes ambitionne de lui prendre la deuxième place chez les constructeurs (seuls sept points séparent Brackley de Maranello). Vu la supériorité des Red Bull, ce sera la bagarre à suivre de la fin de saison… Derrière le combat des constructeurs, Lotus a besoin d’un bon résultat pour rassurer ses partenaires financiers et rebondir après plusieurs semaines difficiles (départ de Räikkönen – sorti lourdement en libres 1 – et hémorragie technique), alors que McLaren devra voir Sergio Pérez, qui a déçu une partie de l’équipe, obtenir un résultat solide.
Variété tactique ?
Même si Pirelli apporte un mélange plus conservateur que l’an dernier et identique à la combinaison vue à Singapour (mais intéressante car plus contrastée : médiums blancs et supertendres rouges), la plupart des pilotes adopteront une stratégie à deux arrêts comme l’année passée. En 2012, seulement trois pilotes optèrent pour un ou trois arrêts. Tous les pilotes du top 10 avaient pris le départ en supertendres et c’est Sebastian Vettel (Red Bull) qui s’imposa en partant deuxième sur la grille (parti depuis sa seizième place sur la grille, Jean-Éric Vergne était le mieux placé des pilotes partant en pneus tendres. Il a fini la course à la 8e place).
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