F1 - GRAND PRIX DE GRANDE-BRETAGNE - Lewis Hamilton (Mercedes) : "Avant, Nico voulait me tuer"
ParF1i
Publié 09/07/2016 à 11:55 GMT+2
GRAND PRIX DE GRANDE-BRETAGNE - Lewis Hamilton (Mercedes) continue de certifier que sa relation avec Nico Rosberg n'est pas si calamiteuse qu'il n'y parait. Pour le Britannique, elle s'est même améliorée.
Lewis Hamilton (Mercedes) persiste et signe. Le triple champion du monde a réitéré vendredi à Silverstone que sa relation avec Nico Rosberg n’avait jamais été aussi bonne qu'aujourd'hui, contrairement à ce qu'a indiqué Niki Lauda, le président non-exécutif de l’écurie allemande.
"Honnêtement, jusqu’à la dernière course, même après notre accrochage de Barcelone, les choses ne s’étaient jamais aussi bien passées avec Nico", a déclaré le Britannique.
"Honnêtement, jusqu’à la dernière course, même après notre accrochage de Barcelone, les choses ne s’étaient jamais aussi bien passées avec Nico", a déclaré le Britannique.
"Nous nous parlons, nous ne prenons pas la direction opposée quand nous nous voyons. Quand il y a un problème, il va me trouver ou je vais le trouver et nous en discutons.Nous n'avons jamais eu ça par le passé. Auparavant, il voulait me tuer et je voulais le tuer. C’est pourquoi je réaffirme que notre relation n’a jamais été aussi bonne qu’aujourd’hui", a insisté le natif de Stevenage.
"Certes, nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde. Nous avons encore des hauts et des bas dans notre relation, et ce qui s’est passé lors de la dernière course en Autriche ne restera certainement pas le meilleur moment de notre relation. Mais il est important que nous agissions en adultes et que nous assumions nos responsabilités", a-t-il conclu. Reste à passer des paroles aux actes.
"Certes, nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde. Nous avons encore des hauts et des bas dans notre relation, et ce qui s’est passé lors de la dernière course en Autriche ne restera certainement pas le meilleur moment de notre relation. Mais il est important que nous agissions en adultes et que nous assumions nos responsabilités", a-t-il conclu. Reste à passer des paroles aux actes.
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