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GP de Monaco : Romain Grosjean en veut plus, Jean-Eric Vergne reste zen

ParF1i

Mis à jour 21/05/2014 à 23:43 GMT+2

Après avoir pris ses premiers points de la saison en Espagne, Romain Grosjean attend une confirmation à Monaco. Jean-Eric Vergne, lui, veut chasser la scoumoune.

Romain Grosjean et Jean-Eric Vergne

Crédit: Panoramic

Week-end important pour les deux pilotes français Romain Grosjean et Jean-Eric Vergne à Monaco. Le premier espère poursuivre sur sa lancée de Barcelone où il a marqué ses premiers points de la saison. Sa Lotus E22 s'était même qualifiée en troisième ligne sur la grille de départ du Grand Prix d'Espagne.
Mais il est conscient qu'à Monaco il s'agira avant tout d'éviter de répéter ses erreurs passées, notamment la sortie de route aux essais et le crash en course l'année dernière. "Monaco est un circuit qu'il faut respecter, estime Romain. Je l'ai appris à mes dépens l'an passé, même si j'avais déjà bien marché ici, notamment en GP2 où j'ai gagné en partant de la pole position. Eviter de commettre une faute est essentiel ici et il faut monter en puissance progressivement, en prenant confiance... mais pas trop !"
C'est un circuit qu'il faut apprivoiser avec humilité
Le championnat 2014 du Lotus F1 Team a mal commencé, mais le pilote franco-suisse a bon espoir de redresser la situation dès ce week-end. "Nous avons d'abord dû obtenir la fiabilité avant de travailler la performance, souligne-t-il. Le potentiel de la voiture semble bien là, comme en attestentles résultats aux qualifications à Barcelone. En course, j'ai rencontré des petits problèmes, mais ici on devrait se hisser en Q3 et viser l'arrivée pour marquer de nouveaux points."
De son côté, Jean-Eric Vergne s'est présenté avec le sourire en conférence de presse. Le Français avait bien commencé la saison en Australie (8ème place synonyme de points), avant de marquer le pas par manque de fiabilité de sa STR9. Les débuts remarqués de son équipier dans la Scuderia Toro Rosso, le jeune Russe Daniil Kvyat, ajoutent encore à la pression sur ses épaules.
"Il faut garder le sourire, insiste JEV, parce que nous faisons tout de même le plus beau métier du monde, à Monaco en plus ! La pression, elle est permanente, donc on apprend à la gérer, sinon on n'a rien à faire dans un paddock.C'est un circuit qu'il faut apprivoiser avec humilité, poursuit-il. Le temps de piste est essentiel et il s'agit de bien l'exploiter, dès la première séance jeudi matin, pour gagner en confiance. Je n'ai pas eu de réussite avec plusieurs incidents mécaniques lors des dernières courses, mais la voiture progresse et j'espère pouvoir en profiter ce week-end."
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