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GP du Mexique - Daniel Ricciardo (Red Bull) : "Je n'étais pas content du tout"

ParF1i

Mis à jour 02/11/2015 à 17:20 GMT+1

FORMULE 1 - Daniel Ricciardo (Red Bull) pensait le podium du Grand Prix du Mexique à sa portée jusqu'à l'évidence d'une trop grande dégradation de ses pneus.

Daniel Ricciardo (Red Bull) avant le départ du Grand Prix du Mexique 2015

Crédit: Red Bull Racing

Comme son équipier Daniil Kvyat, Daniel Ricciardo (Red Bull) espérait pouvoir jouer le podium jusqu'au dernier tour du Grand Prix du Mexique dimanche. Mais il a dû se rendre à l'évidence, ce n'était pas le jour des Red bull qui, bien qu'en forme, ont joué de malchance avec la sortie de la voiture de sécurité. Résultat : il s'est contenté de la cinquième place, de laquelle il s'était élancé sur la grille.

"Nous avions tous les deux des vues sur le podium, et Daniil paraissait bien placé, a commenté l'Australien. J'ai pensé que les pneus prime lors du deuxième relais me donneraient plus de rythme, mais nous étions dans une sorte de no man's land avec les Williams et nous étions plus rapides, mais je n'ai pas pu les passer, jusqu'à ce qu'ils souffrent de trop de dégradations. Donc je croyais que nous aurions eu une meilleure cadence, mais nous ne parvenions pas à la montrer."

"Au redépart, je pense que chausser tous les deux les pneus options était peut-être la mauvaise chose à faire. J'étais personnellement à l'aise avec les prime aujourd'hui, et, comme Daniil avait déjà mis les option, j'aurais dû mettre des prime pour essayer quelque chose d'autre."
J'essayerai de ne pas me tirer une balle dans le pied si c'était de ma faute
Quant à sa touchette avec Sebastian Vettel lors du premier tour du Grand Prix, le pilote Red Bull estime qu'il n'aurait pas pu en être autrement.

"Pour être honnête, je n'étais pas content du tout à ce moment-là, a-t-il confié. Je regarderai les images et j'essayerai de ne pas me tirer une balle dans le pied si c'était de ma faute. Mais j'étais simplement là, je n'ai pas nécessairement fait de manœuvre particulière, et, au départ, nous étions tous tassés les uns contre les autres."

"J'étais juste là, à l'intérieur, et je n'ai pas l'impression que je pouvais aller ailleurs. Au fond, il a tout simplement pris la corde, comme si je n'étais pas là. Je ne vois ce que j'aurais pu faire d'autre…"

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