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ParEurosport

Mis à jour 25/01/2011 à 19:52 GMT+1

Face à l'Islande ce soir (20h45), à Jönköping, l'équipe de France voudra conclure son tour principal par une septième victoire en huit matches. Le discours du sélectionneur ne laisse planer aucun doute : les Bleus prendront l'adversaire qui se présentera à eux vendredi, qu'il soit suédois ou danois.

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Crédit: Eurosport

Le dépaysement n'est pas prévu pour tout de suite. Après la Norvège, la France affronte ce mardi l'Islande à Jönköping. Un match qui n'aura d'enjeu que celui de déterminer le classement final du groupe I. La problématique est simple. Si les Bleus terminent premiers, ils seront opposés aux deuxièmes du groupe II. Si le Danemark conserve son invincibilité, c'est la Suède qui sera proposée aux champions du monde. Un match qui aura lieu à Malmö et à 18h, vendredi. Les télévisions nationales en ont décidé ainsi.
"Tous les joueurs sont censés jouer (ce soir). Ceux qui ont peu ou pas joué lundi sont partis à l'entraînement ce matin. On jouera contre l'Islande sans calcul", a avancé Claude Onesta. L'objectif du sélectionneur est de rester dans la dynamique actuelle. "On va se donner à fond. C'est le meilleur moyen d'éviter la blessure. Après mon rôle sera de surveiller les joueurs qui accusent le coup physiquement". A priori, Xavier Barachet sera dans le groupe et devrait passer quelques minutes sur le parquet. Quant à Sébastien Bosquet, le retour du Dunkerquois n'est pas encore à l'ordre du jour : "Pour Sébastien, ça ne dépend plus de son état de forme. Son retour sera dû à un choix stratégique. De son côté, il continue de s'entraîner. Il sait qu'il pourrait être sollicité mais ce sont les circonstances qui marqueront son retour ou pas".
Le sélectionneur est également revenu sur les derniers instants du match de la veille : "On ne joue pas mal. Par succession, on montre de belles choses. On obtient des penalties. Après, on ne les marque pas, mais on s'est tout de même créé l'action". Le retour de Barachet devrait redonner cet équilibre qui "facilite le jeu" et qui devrait permettre aussi aux ailiers de revoir un peu plus le ballon. Lundi soir, la victoire contre la Norvège et, de facto, la qualification pour les demi-finales, n'a pas été suivi d'effusions de joie dans le camp tricolore. Pour Claude Onesta, ce billet en poche est "un non-évènement". "On n'est pas blasé mais ce résultat est la conséquence d'un travail et d'un projet établis. On est en demie, on a fait le boulot. Mais y être n'a de sens que si on va au bout. Et on va se préparer pour aller au bout".
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