Un jour, cinq images : À Sotchi, on tutoie les étoiles
ParEurosport
Mis à jour 14/02/2014 à 23:17 GMT+1
En cinq images, retrouvez les temps forts de la journée à Sotchi. Vendredi, Cologna a écrit sa légende, Innerhofer amusé son monde et les skieuses ont visé la lune.
Viser la Lune
Le temps n'a pas suspendu son vol, les skieuses lancées sur le tremplin du saut acrobatique non plus. Mais, l'espace d'un cliché, Laura Peel semble pouvoir accrocher la Lune. Plus dure en sera la chute : l'Australienne échoue au septième rang, loin de ses rêves étoilés. Et encore, le retour à des réalités très terre à terre a été plus rude pour certaines de ses rivales.
Innerhofer à la renverse
Outre le fait d’être un dragueur invétéré, Christof Innerhof, argenté en descente puis bronzé en Super-Combiné, est réputé pour avoir beaucoup d’humour et aimer faire le clown. Lors de la cérémonie des fleurs, qui a suivi la manche de slalom vendredi, l’Italien y est allé de sa petite roulade sur le podium. Avec un style bien à lui. Mais toujours avec le sourire.
Cologna, le Grison qui ne se viande pas
Dario Cologna sait qu’il revient de trop loin pour ne pas apprécier à sa juste valeur ce qu’il vit à Sotchi. Après un premier sacre sur le 30km, le Grison était passé à côté de son sprint en raison de deux chutes rapprochées. Alors sur le 15km, le fondeur du Val Müstair a sorti les crocs et gonflé les muscles. A l’arrivée, il a écrasé la course, repoussant son dauphin suédois, Johan Olsson, à près de 30 secondes. Le Suisse s'est ensuite fendu d'un bel hommage à Roberto Carcelen, dernier de l'épreuve avec deux côtes brisées.
Amodio a craqué
Sur la glace, Florent Amodio a semblé en-dedans. Puis le Français a libéré ses émotions. Après un programme libre décevant, il lâche ses larmes en zone "kiss & cry". Triste allégorie d'une saison ratée. Il a un mois et demi pour retrouver sourire et sensations avant les Mondiaux de Saitama, au Japon.
Et bim ! le hockey masculin s'impose
Les Russes frémissent déjà à l'idée du choc Russie - Etats-Unis de samedi en hockey sur glace. L'affiche fait rêver mais attention à ne pas se retrouver scotché comme ce malheureux Tchèque, pris par l'expérience du Letton Sandis Ozolins (41 ans). 1,90 mètre, 100 kilogrammes… On n'aurait pas aimé subir cette mise en échec.
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