Les 100 déclas de 2014 - Acte 7 : Laporte, Lineker, Federer, LeBron...
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Mis à jour 28/12/2014 à 15:27 GMT+1
Suite de notre classement des phrases marquantes qui ont émaillé l'actualité sportive depuis le 1er janvier 2014. Dimanche, il y est question de pipasse, d'embonpoint et de golfeurs pas contents.
Le Top 100 des déclas de 2014.
Crédit: Eurosport
Bons mots. Métaphores, coups de gueule, de coeur ou de blues. Tacles assassins. Tirades cinglantes, pleureuses, ou joyeuses. Une année de sport, c'est de l'action mais aussi des déclarations. Que serait le sport sans ces petites phrases qui rythment chaque évènement?
Du 22 au 31 décembre, nous vous proposons de retrouver ou, qui sait, de découvrir les 100 déclarations de l'année 2014. 7e volet ce dimanche, de la 40e à la 31e place.
Huitième volet lundi, de la 30e à la 21e place.
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C'est dommage que ma famille ne me regarde pas jouer. Jamie a toujours été le fils préféré. C'est pour ça que je suis si compétitif. Mon frère a toujours été le favori de la famille, ils vont tous le voir jouer et je suis obligé d'en faire toujours plus.
40. Andy Murray – 27 juin. L'humour so british de l'Ecossais pendant Wimbledon alors que ses parents étaient allés voir jouer son frère en double plutôt que son match du troisième tour sur le central.
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Andy Murray à Wimbledon en 2014.
Crédit: AFP
Ils ne nous aiment pas. Ils nous veulent, ils vont nous avoir.
39. LeBron James – 1er juin. Du gentil trash talking signé King James avant les retrouvailles entre Miami et les Spurs. Sur le parquet, c'est surtout Miami qui n'a pas aimé San Antonio.
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LeBron James contre Kawhi Leonard lors du match 3 de la finale Spurs-Heat
Crédit: AFP
C'est moi qui ai appris à Romero à arrêter les tirs au but. Alors oui, ça fait mal.
38. Louis van Gaal – 10 juillet. Le sélectionneur néerlandais avait pris Sergio Romero sous son aile quand il a débarqué à Alkmaar. Alors, forcément, quand le portier argentin a joué les héros contre les Pays-Bas en demi-finale du Mondial, van Gaal a eu un peu mal…
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Louis van Gaal durant la Coupe du monde 2014.
Crédit: Imago
Je ne sais pas si je pourrais regarder le match ce soir. J'ai des enfants, une famille et des amis. Puis c'est généralement l'heure à laquelle je mets tout le monde au lit.
37. Roger Federer – 11 novembre. Le Suisse n'avait pas franchement fait du match Murray-Raonic au Masters une priorité pour sa soirée…
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Roger Federer
Crédit: AFP
C'était un match fou. Nous aurions pu marquer cinq buts. Ah oui, nous avons marqué cinq buts. Mais nous aurions pu en mettre six, sept ou huit !
36. Robin van Persie – 13 juin. L'attaquant néerlandais ne savait plus où il en était après la raclée infligée aux champions du monde espagnols (5-1) au premier tour du Mondial 2014.
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Robin van Persie en plein vol face à l'Espagne
Crédit: Panoramic
En un demi-siècle à regarder du football, c'est le match le plus extraordinaire, le plus stupéfiant et le plus déroutant auquel j'ai pu assister.
35. Gary Lineker – 9 juillet. Le célèbre consultant de la BBC, sous le choc après l'incroyable demi-finale Allemagne-Brésil (7-1) à Belo Horizonte…
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Gary Lineker
Crédit: Imago
Le BBCSPOTY est devenu une vaste blague. C'est vraiment honteux. Absolument ridicule que Rory McIlroy ne soit pas le champion de l'année 2014. Félicitations à Lewis Hamilton mais il a eu une personne à battre toute l'année…
34. Ian Poulter – 15 décembre. Le BBCSPOTY, c'est le titre de personnalité sportive de l'année en Grande-Bretagne. Les golfeurs britanniques, tous à l'unisson, ont publiquement manifesté leur désapprobation devant le sacre de Lewis Hamilton. Pour eux, Rory McIlroy aurait dû l'emporter.
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Rory McIlroy et Lewis Hamilton
Crédit: Getty Images
On ne boxe pas dans la même catégorie de poids.
33. Lothar Matthaus – 7 juillet. Une petite séquence qui a fait le tour des télés au Brésil. En conférence de presse, à trois jours de la demi-finale Allemagne-Brésil, un journaliste demande en rigolant à Ronaldo et Lothar Matthaus, tous deux présents, de ne pas se battre. La réplique de Lothar évoque sans détour l'embonpoint de l'ancien attaquant de la Seleçao. Ah, l'humour allemand…
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Lothar Matthäus
Crédit: Imago
Messi pourrait être le meilleur joueur de la planète. S'il était humain.
32. Carlos Queiroz – 22 juin. Le sélectionneur portugais de l'Iran, admiratif de la Pulga argentine, qui venait de crucifier son équipe à la 90e minute…
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Carlos Queiros et Mionel Messi.
Crédit: Imago
Je ne peux plus cautionner qu'il nous arbitre, il nous vole à chaque fois. Ce n'est pas que sur cette action qu'il est nul, il est nul tout le match. Il est toujours nul. C'est un incompétent complet, un amateur, une pipasse.
31. Bernard Laporte – 9 janvier. Quelques jours plus tôt, le RCT avait été battu à Mayol par Grenoble après une interception de Ratini (21-22). Les Varois pensaient pourtant bénéficier d’un avantage laissé par l’arbitre Laurent Cardona. Du coup, sur RMC, Laporte s'est lâché…
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Le manager de Toulon, Bernard Laporte, en tribune
Crédit: Icon Sport
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