Wariner: "Je suis prêt"

J.W. : "Je suis content, c'est mon meilleur temps personnel. J'ai couru intelligemment. Dans le virage, j'ai senti Kerron Clement au niveau de ma hanche, mais j'ai su bien finir. Je sais que mon coach Clive Hart va être content de mon finish. Les conditions de course étaient parfaites, le vent était bloqué par le stade et la chaleur ne m'a pas posé de problème, j'ai l'habitude au Texas."

J.W. : "C'était ma dernière course avant les Mondiaux et j'arrive là-bas en courant une demi-seconde plus vite que tous mes adversaires. Je suis prêt, dans de bonnes dispositions, même s'il reste de petites choses à travailler. Je vais faire du travail de vitesse pour améliorer encore mon finish."

J.W. : "C'est sûr, car la piste est rapide. Si je cours au Japon de la même façon que j'ai couru ici, je vous garantis 43"30, juste à cause de la piste."

J.W. : "Je ne sais pas. Si je reproduis ce que j'ai fait ici aux Mondiaux, ça sera peut-être à Pékin, je ne peux pas dire. J'arrive en confiance à Osaka et si ça vient là-bas tant mieux, sinon tant pis, il y aura la saison prochaine pour battre ce record et encore une longue carrière devant moi."

J.W. : "Oui, je l'ai dans les jambes. Il y a encore de petits choses techniques à améliorer mais c'est dur à vous expliquer. Coach (Clive) Hart et Michael (Johnson) savent ce qu'il faut que je fasse."

J.W. : "Londres, c'était mon premier 400 m depuis le 26 mai. Je savais que cette première course allait être dure à encaisser et que mon corps allait ressentir la fatigue. Mais j'ai bien rechargé les batteries depuis ce week-end et mon corps s'est réhabitué à courir 400 m. Donc je savais qu'aujourd'hui j'allais aller plus vite."

J.W. : "(Sans hésitations) Moi-même ! Si je ne fais pas ma course, je vais me faire battre. Mais si je fais ma course, comme ici, personne ne va pouvoir me battre à Osaka."

J.W. : "Je l'ai déjà dit, le record du monde du 4x400 va être battu si Angelo (Taylor), LaShawn (Merritt), Bershawn (Jackson), Darold (Williamson) et moi continuons à courir comme nous le faisons en ce moment. Mettez un bâton dans les mains de n'importe lequel d'entre nous et je vous garantis qu'on va tous courir dans les 43 secondes !"