TweetTour: La 12e étape du Tour de France 2013 vue par Twitter

Les étapes de transition n'existent que dans la tête de ceux qui ne sont pas sur le vélo, pas dans les jambes des coureurs. La preuve avec Samuel Dumoulin, qui ne s'attendait pas à souffrir autant.

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Attention, Florent Brard, l'ancien champion de France, a visiblement des dossiers photos plus ou moins compromettants sur certains membres du peloton. Comme Jérémy Roy et Cyril Lemoine, par exemple. Saurez-vous reconnaitre qui est qui?

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Mark Cavendish est peut-être une tête de cochon, mais c'est aussi un type très fair-play. Comme à chaque fois qu'il a été devancé au sprint sur ce Tour, le Britannique s'est empressé de tweeter pour féliciter son vainqueur. Jeudi, il semble même adouber Marcel Kittel comme le meilleur sprinter de la planète, simplement "meilleur" que lui. "Comme je l'ai déjà dit, Marcel Kittel est le nouveau cador. Simplement meilleur que moi aujourd'hui", juge le Cav'.

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Jeudi matin, avant de prendre le départ, Cavendish appréciait la moindre chaleur. Surtout, il salivait à l'idée d'arriver à Tours, terre historique du sprint…

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Simon Gerrans, l'ancien maillot jaune, n'a pas vu passer la journée ! Il a raison: 44,8 km/h pour cette 12e étape menée grand train. Au passage, l'Australien a une pensée pour les copains tombés dans le final.

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A chaque journée le petit calembour de Jérémy Roy. Aujourd'hui, ville départ + ville arrivée = double ration de Jean Roucas. Nous, on adore et on en redemande. D'ailleurs, après un échange avec lui, on a promis à Jérémy de lui offrir l'Almanach Vermot s'il gagne une étape. On sait le motivier !

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Andre Greipel dans le camp des frustrés jeudi. Bloqué par la grosse chute à 2,5 kilomètres de l'arrivée, l'Allemand n'a pas pu disputer la victoire à son compatriote Marcel Kittel.

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L'œil toujours juste de Fred Grappe, le médecin de la FDJ, qui analyse à chaud le sprint victorieux de Marcel Kittel.

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Luis Angel Maté n'a pas mangé un clown, mais pas loin. Au moment de passer à table, le coureur espagnol de la Cofidis s'est empressé de tweeter: "En course, on est devant moi, mais quand vient l'heure de manger, je n'ai pas de rival!". Le manager, Yvon Sanquer, a trouvé la recette pour pousser ses hommes à la victoire : leur promettre un bon repas à l'arrivée à Paris.