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Mémo mercato : Le PSG est libéré, pas le Barça… mais il n'en a pas besoin pour frapper fort

Ilyes Ramdani

Mis à jour 10/07/2015 à 19:46 GMT+2

MERCATO - Comme chaque vendredi, nous vous proposons de revenir sur la semaine de mercato qui vient de s’écouler. Qui a eu le nez creux ? Qui s’est fait avoir ? Interdit de recrutement, le Barça se renforce quand même tandis que le PSG est enfin entré de plain-pied dans ce mercato. Voici notre mémo.

Mémo mercato 3

Crédit: AFP

Le transfert de la semaine : Turan au Barça

Celui-là, on ne l’attendait pas forcément. Le transfert d’Arda Turan au Barça a constitué une légère surprise pour deux raisons. D’abord parce que le club catalan est interdit de recrutement jusqu’en 2016 et que, s'il peut faire signer des joueurs, ceux-ci doivent accepter de rester inactifs jusqu'en janvier. Ensuite parce que la question se pose légitimement de savoir si le Barça avait besoin d’Arda Turan. Dans l’entrejeu, Rakitic, Iniesta et Busquets semblent indéboulonnables, au même titre que la MSN en attaque. Lui, l’homme aux 46 matches la saison dernière, cadre en club comme en sélection, a donc choisi de plonger dans l’inconnu. Avec le risque de voir plus de matches du Barça qu’il en va en jouer. Mais ça reste quand même un énorme coup.
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Arda Turan

Crédit: AFP

Ça sent la bonne affaire : Cabaye à Crystal Palace

La bonne affaire triste, évidemment. Parce qu’elle résulte de dix-huit mois d’échec au PSG et qu’elle envoie le milieu défensif titulaire de l’équipe de France dans un club modeste de Premier League. Passée cette mélancolie, le transfert de Yohan Cabaye à Crystal Palace a tout du bon plan. Pour le PSG, c’est le moyen de récupérer jusqu’à 18 millions d’euros (14+4 de bonus). Une belle somme pour un club habituellement plus habile pour acheter que pour vendre. En signant dans un club qui l’a accueilli comme sa recrue-phare de l’été, le joueur a l’occasion de gagner en confiance (il retrouvera Alan Pardew, le coach sous les ordres duquel il a explosé à Newcastle) et en temps de jeu. De bon augure pour lui… et pour les Bleus. La bonne affaire, on vous dit.
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Neymar (Barça) face à Cabaye (PSG)

Crédit: AFP

Pas donné et pas gagné : Zaza à la Juventus

Là, on avoue ne pas avoir tout compris. La Juventus a annoncé cette semaine l’arrivée de Zaza contre un chèque de 18 millions d’euros. Le joueur de 24 ans a certes réalisé une bonne saison avec Sassuolo, inscrivant 12 buts en 34 matches (toutes compétitions confondues). Mais dépenser une telle somme pour un attaquant de pointe paraît pour le moins curieux pour le club piémontais. Dans son effectif, Allegri compte, au rang des attaquants, Morata, Llorente, Coman et les deux recrues Dybala (40 M€, bonus compris) et Mandzukic (18 M€). Embouteillage (onéreux) à prévoir.

La rumeur qui nous laisse sans voix : Di Maria contre Müller, Robben et de l'argent

Des rumeurs farfelues, on en croise un certain nombre pendant la période des transferts. Mais certaines ont encore le mérite de nous étonner. Cette semaine, le Telegraph se faisait l’écho d’un intérêt du Bayern pour Angel Di Maria. Jusque-là, rien de nouveau. Mais le quotidien britannique assurait en plus que le club bavarois songeait à proposer un échange plutôt original à Manchester United. Pour Di Maria, le Bayern aurait été prêt à céder Arjen Robben, Thomas Müller… et quelques millions d’euros en plus. Rien que ça. Autant vous dire qu’on vous autorise à ne pas y croire.
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Angel Di Maria

Crédit: AFP

La décla qui (r)entrouvre la porte au grand fantasme de l’été

Paul (Pogba) ne quittera pas la Juve cet été. Sauf s’il le demande…
Dans La Gazzetta, Giuseppe Marotta, le directeur sportif de la Juventus, a voulu définitivement couper court aux rumeurs de départ entourant Paul Pogba. Il leur a peut-être donné encore plus de vigueur.

Le tweet qui, l’air de rien, annonce peut-être une des surprises de l’été

"Fenerbahçe a entamé des discussions avec Robin Van Persie et son club, Manchester United."

Le chiffre : 300 000

Une bonne saison et puis… le jackpot. Payé 50 000 euros brut par mois la saison dernière, Nabil Fekir a profité de l’intérêt de plusieurs clubs à son sujet pour négocier une revalorisation salariale en or. L’international français a multiplié son salaire par six pour atteindre 300 000 euros par mois.
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Nabil Fekir (Lyon)

Crédit: Panoramic

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