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GRAND PRIX D'ARABIE SAOUDITE - Schumacher "prêt à courir" malgré son violent accident

ParAFP

Mis à jour 27/03/2022 à 18:36 GMT+2

GRAND PRIX D'ARABIE SAOUDITE - Mick Schumacher, victime d'un violent accident samedi lors des qualifications du Grand Prix d'Arabie Saoudite à Djeddah, s'est délcaré "prêt à courir". L'Allemand est forfait à cause du manque de composants de rechange pour sa voiture, non pas à cause d'éventuelles séquelles du crash. Il a également pointé du doigt les dangers du circuit de Jeddah.

Mick Schumacher

Crédit: Getty Images

Malgré la violence de l'accident qu'il a subi lors de qualifications, l'Allemand Mick Schumacher (Haas), forfait pour le Grand Prix d'Arabie saoudite de F1 dimanche, "serait pour sûr prêt à courir". Son retrait n'aurait rien à voir avec son état de santé, mais serait plutôt une question mécanique, a-t-il assuré.
"Il faut gérer nos composants et les pièces de la voiture", a développé Schumacher lors d'un point presse sur le paddock du circuit de Jeddah. "C'est la deuxième course, c'est assez tendu pour les pièces de rechange à ce moment de l'année, donc je me doutais que ça serait difficile" de prendre le départ du GP à 20h (19h en France).
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Ce n'est pas à moi de juger de la sécurité mais...
Pendant la deuxième partie des qualifications, le fils de Michael Schumacher a perdu le contrôle de sa monoplace, avant de percuter violemment un muret. Cet accident a ravivé les inquiétudes déjà existantes. Le circuit de Jeddah est très rapide et étroit, les crashs ne pardonnent pas et la visibilité fait parfois défaut. "Ca n'est pas à moi de juger de la sécurité mais aux officiels et aux personnes qui décident, a rappelé le pilote. Mais je pense qu'il y aura des choses à examiner. (...) Heureusement, les voitures sont tellement sûres de nos jours que j'ai pu m'en sortir."
La séance a été interrompue immédiatement après son crash, pour une cinquantaine de minutes, le temps d'un premier bilan de santé puis de dégager sa monoplace. Les images prises immédiatement après étaient inquiétantes, le pilote ne bougeant pas. Mais "j'étais à 100%. C'est surtout de la frustration à propos de ce qui venait de se produire. Je réfléchissais à ce qui venait de se passer et ce que j'aurais pu mieux faire" a conclu Schumacher, en perfectionniste.
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