Les plus populaires
Tous les sports
Voir tout

Sebastian Vettel en première ligne, Ferrari a bien des raisons d'espérer

Stéphane Vrignaud

Mis à jour 25/03/2017 à 12:31 GMT+1

GRAND PRIX D'AUSTRALIE - Sebastian Vettel a prouvé la valeur de la Ferrari en s'intercalant entre les Mercedes, samedi à Melbourne. C'est une évidence, la Scuderia dispose d'une bonne base pour la suite.

Sebastian Vettel (Ferrari) au Grand Prix d'Australie 2017

Crédit: AFP

James Allison, aujourd'hui directeur technique de Mercedes, n'était finalement pas si mauvais que ça et Ferrari a sans doute manqué de patience avec lui en le remerciant en juillet dernier. Samedi à Melbourne, la SF70H - dont il a mené le projet jusqu'à un stade très avancé des études - a permis à Sebastian Vettel de se qualifier deuxième sur la grille du Grand Prix d'Australie 2017 à Melbourne.
Battu de 0"268 par la Mercedes de Lewis Hamilton, il a reconnu la réalité de l'écart sur lequel la Scuderia doit désormais travailler. Face à Mercedes, la course la plus importante a commencé, celle du développement. "Super boulot les gars ! Super rétablissement !", s'est exclamé à la radio le pilote, en apprenant sa position. Vendredi, il n'était pas parvenu à équilibrer sa machine mais il était persuadé de pouvoir le faire.
picture

Valtteri Bottas, Lewis Hamilton (Mercedes) et Sebastian Vettel (Ferrari) au Grand Prix d'Australie 2017

Crédit: AFP

Räikkönen veut faire mieux

"On est galvanisé pour la course", a déclaré le quadruple champion du monde, qui de sa troisième place de grille à Melbourne avait débordé les Mercedes au coup d'envoi. "La SF70-H est une bonne voiture. Si on se penche douze mois en arrière, les progrès sont évidents."
"La confiance est là depuis les tests et on a fait un gros hiver, fait de changements, mais rien que pour le meilleur", a poursuivi l'Allemand, qui a remis une "rossa" sur la première rangée pour la première fois depuis sa pole position à Singapour en 2015.
"J'ai perdu un peu de temps dans mon dernier tour mais je ne pense pas que la pole position était à ma portée. Dimanche, je pense qu'on peut faire quelque chose. Tout est nouveau (ndlr : le règlement, la procédure de départ entièrement manuelle), il pourrait y avoir des surprises", a-t-il conclu.
En revanche, Kimi Räikkönen n'a pas pu concrétiser le potentiel de son bolide. Il s'est classé quatrième à plus d'une seconde et s'est désigné comme le premier responsable : "Je me suis compliqué la vie dès la Q1 : je ne suis jamais parvenu à aligner trois bons secteurs et ça m'a couté au chrono. Mais je sens que la voiture est rapide et c'est à moi de faire mieux."
picture

Kimi Räikkönen (Ferrari) au Grand Prix d'Australie 2017

Crédit: Ferrari S.p.A.

Rejoignez Plus de 3M d'utilisateurs sur l'app
Restez connecté aux dernières infos, résultats et suivez le sport en direct
Télécharger
Partager cet article
Publicité
Publicité