Essais libres 2 : Lewis Hamilton (Mercedes) reste devant
Mis à jour 23/03/2018 à 11:34 GMT+1
GRAND PRIX D'AUSTRALIE - Comme le matin, Lewis Hamilton (Mercedes) a dominé les essais libres 2 de la 1re manche du Mondial, vendredi après-midi à Melbourne. Auteur d'un tour en 1'23"931, le quadruple champion du monde britannique a devancé Max Verstappen (Red Bull) de 0"127 et son coéquipier Valtteri Bottas de 0"228.
La hiérarchie est serrée, voilà qui promet ! Certes, Lewis Hamilton (Mercedes) a encore fixé le meilleur temps lors des essais libres 2 du Grand Prix d'Australie, la 1re manche du Mondial, vendredi après-midi à Melbourne, mais sa marge n'est pas conséquente. Au cours de cette session de 90 minutes qui préfigurait les conditions de la qualification, samedi à 6h00 françaises, le Britannique a fixé le meilleur chrono à 1'23"931 avec les "ultra tendre", les Pirelli les plus tendres à disposition.
Sans le surcroit de puissance qu'offre son moteur traditionnellement en Q3, le quadruple champion du monde n'a gardé que 0"127 de marge sur le Néerlandais Max Verstappen (Red Bull), qui a déjà montré sur l'écurie autrichienne était prête à challenger Ferrari cette saison. Valtteri Bottas troisième à 0"228 sur l'autre Mercedes, Kimi Räikkönen et Sebastian Vettel (Ferrari) ont culminé aux quatrième et cinquième rangs, à respectivement 0"283 et 0"520.
Juste derrière ces ténors, Romain Grosjean (Haas) a montré que les bons essais hivernaux de l'écurie étasunienne n'était pas qu'un phénomène passager en prenant la sixième place à 0"717, devant Daniel Ricciardo (Red Bull) à 0"790.
Ricciardo pénalisé
Fernando Alonso (McLaren), Kevin Magnussen (Haas) et Stoffel Vandoorne (McLaren) ont complété le Top 10 à plus d'une seconde.
Un incident a causé une interruption de séance : le fil détectant le transpondeur chronométrique de chaque monoplace est sorti de sa gouttière au niveau de la ligne d'arrivée.
Premier Grand Prix, premières enquêtes : Kimi Räikkönen a été mis sous investigation pour avoir gêné Valtteri Bottas (Mercedes) au virage, poussant son compatriote finlandais à un freinage d'urgence achevé dans les graviers. Iceman a expliqué qu'il n'avait pas voulu tenter de manoeuvre hasardeuse et son cas a été classé sans suite. En revanche, les faits reprochés à Daniel Ricciardo étaient plus sérieux. l'Australien n'a pas ralenti assez vite lors du déploiement du drapeau rouge et il a écopé d'une pénalité de trois places sur la grille.
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