Libres 2 : Andrea Dovizioso (Ducati) toujours devant, Johann Zarco (Yamaha) rate le Top 10
Mis à jour 07/09/2018 à 16:30 GMT+2
GRAND PRIX DE SAINT-MARIN - Andrea Dovizioso (Ducati Team) s'est encore montré le plus rapide, vendredi après-midi à Misano, où Johann Zarco (Yamaha Tech3) a finalement manqué de peu le Top 10 en prévision de la qualification directe pour la Q2.
Andrea Dovizioso reste devant. Vendredi après-midi à Misano, l'Italien de Ducati Team a même haussé son rythme matinal d'une demi-seconde pour préserver sa place de leader des essais libres, à l'occasion de la seconde session du jour, qu'il a conclue en 1'32"198, lors de son dernier tour chrono, toujours en pneus "tendre".
En revanche, il a vu son coéquipier et néanmoins adversaire, Jorge Lorenzo, revenir sur ses talons en tant que premier poursuivant, à 0"160, avec la même combinaison de pneumatiques.
En évidence lors du premier entraînement, Cal Crutchlow (Honda LCR) a rétrogradé au troisième rang, à 0"187. Derrière "The Dog", seul Maverick Viñales (Yamaha Factory) et Marc Marquez (Honda HRC) ont tenu le choc, respectivement à 0"213 et 0"339, car Danilo Petrucci (Ducati Pramac), sixième, a fini au-delà de 0"5.
Cinq millièmes en défaveur de Zarco
Mais lors de cette séance, on attendait surtout une réponse de Valentino Rossi (Yamaha Factory), seulement quinzième temps des premiers roulages. Le local de la 13e manche du Mondial a haussé le ton et signé le huitième temps. Il a fini à 0"588 mais c'est la place qui compte, car la pluie pourrait perturber les essais libres 3, samedi, et figer le groupe des dix pilotes admis directement en Q2.
Cette perspective risque d'être un problème pour Johann Zarco (Yamaha Tech3). Bien qu'auteur du dixième chrono dans cette deuxième session, pour 0"009 à son avantage par rapport à Dani Pedrosa (Honda HRC), le Français de l'équipe d'Hervé Poncharal apparaît au 11e rang du meilleur des deux sessions, pour 0"005 derrière Franco Morbidelli (Honda VDS).
Au micro d'Eurosport, le patron de l'équipe de Bormes-les-Mimosas a expliqué que son pilote avait préféré poursuivre son travail sur un long relais plutôt que passer son dernier train de pneus disponible. Un choix à doublant tranchant : s'il ne pleut pas samedi matin, il aura l'avantage d'une gomme neuve, s'il pleuve il sera piégé, et tenu de passer par la Q1.
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