Open d'Australie - Un jour, cinq images : Coup de sang, coup de chaud, coup de vieux
Mis à jour 15/01/2014 à 12:52 GMT+1
En cinq images, retrouvez cinq temps forts de la journée à Melbourne. Mercredi, le drôle de calin de Jerzy Janowicz et le voyage dans le temps d'Anderson.
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Rafter-Hewitt, back to the future
Que c'était sympathique de revoir Patrick Rafter sur un court. Le double vainqueur de l'US Open (1997, 1998) s'est un peu empâté à 41 ans, mais il est toujours aussi dégoulinant de classe. Engagé en double avec Lleyton Hewitt, il voulait avant tout se faire plaisir. Et si les deux hommes ont perdu mercredi dès leur entrée dans le tournoi, ce duo d'anciens numéro un mondiaux australiens avait de la gueule.
Anderson a pris 30 ans
L'image symbolise bien ce qu'endurent les joueurs et les joueuses depuis deux jours. A chaque match, ils paraissent vieillir de quelques années. Kevin Anderson fait bien 65 ans sur cette photo prise mercredi lors de son deuxième tour face à Dominic Thiem. Le Sud-Africain n'a pourtant pas bataillé trop longtemps puisqu'il s'est imposé en trois sets. Mais les organismes sont soumis à rude épreuve.
La tête sous l'eau
Au sens propre. Les joueurs ne sont pas les seuls à en baver. Hier, un ramasseur de balles s'était trouvé mal lors du match de Milos Raonic. Du coup, les "ball boys" comme on les appelle à Melbourne, ont pour obligation de s'hydrater au maximum en toutes circonstances. Les robinets et les jets d'eau fonctionnent à plein régime à Melbourne Park.
Janowicz fait un calin à Andujar
La poignée de mains version Jerzy Janowicz. Le Polonais manque d'étrangler Pablo Andujar pendant que les deux hommes attendent le verdict du "hawk eye" sur la balle de match. Il faut dire que le service de JJ était 20 bons centimètres à l'intérieur du carré de service et que l'Espagnol ne se faisait aucune illusion. D'où "l'accolade" de Janowicz. Un "coup de sang" tout en second degré, évidemment.
Serena, le tarif maison
La chaleur, Serena Williams n'a pas le temps d'en souffrir. La numéro un mondial a pris son rythme de croisière de première semaine de Grand Chelem. L'œil rivé sur la balle, elle n'a jamais relâché l'étreinte lors de son match face à la Serbe Vesna Dolonc. Trois jeux, comme Barty au premier tour. C'est le tarif maison.
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