Wimbledon 2014 - Grigor Dimitrov : "Je me sens capable de battre Murray"

G.D. : Je le sens bien. Vous savez, un quart ici, c'est une première pour moi, je suis heureux de jouer ce match. Être ici me donne du crédit mais mon travail n'est pas fini. Je suis très impatient d'être sur le court mercredi sans changer mes routines d'avant-match.

G.D. : Toute la confiance enmmagasinée sur la pelouse du Queen's, je la répercute sur le gazon ici-même. La première semaine a été super pour moi. Le gazon a un peu changé autour de la ligne de fond de court. Cela devient un peu difficile, ce qui rend la chose aussi agréable. Je ne fais que regarder chaque match que j'ai à jouer. Pour le moment, je ne pense à rien d'autre que ce qui est devant moi et l'adversaire bien entendu. Je n'ai rien d'autre à l'esprit en ce moment.

G.D. : Chaque tournoi, je le joue pour le gagner. C'est tout l'intérêt de jouer ce genre de tournoi. Bien sûr, ce n'est pas une tâche facile. C'est beaucoup demander. Vous êtes amené à vous poser beaucoup de questions sur votre adversaire, donc vous devez avoir des réponses. Pour le moment, j'ai été assez performant et je m'attends à élever mon niveau de jeu dans le match suivant. Ce n'est pas un nouvel adversaire pour moi. Je le connais bien. Il n'y a rien d'important que j'ai besoin de découvrir...

G.D. : C'était un match sur dur, joué en nocturne. Nous avions joué un super match. Je crois que c'était l'un de ses meilleurs matches pour lui cette année de loin. Je connais Andy depuis longtemps. Je me suis souvent entraîné avec lui. Nos équipes s'entendent même très bien. Nous savons quel jeu nous pratiquons. Au Mexique, c'était un match long et éreintant, mais au meilleur des trois manches. Ici, ce sera au meilleur des cinq, donc forcément, ce sera différent.

G.D. : C'est une bonne question... Ici, c'est chez lui déjà. Il a joué énormément de matches sur ce court central. Il y connaît chaque recoin et y bouge très bien. Il va falloir que je joue mon jeu, que je ne recule pas, je veux sortir un gros match et jouer de façon agressive.

G.D. : Comme je le disais au début, c'était assez drôle à entendre. Mais quand j'ai commencé à devenir un joueur sur le circuit, cela m'a mis un peu de pression sur les épaules. Maintenant je pense que cela est en train de disparaître. Je me suis prouvé que j'étais une personne différente. Un joueur différent. A moi d'ajouter encore quelque chose de différent.

G.D. : Andy est un grand défenseur et un excellent retourneur. Lui prendre un set n'est pas la chose la plus facile à faire quand vous jouez contre lui. J'ai vu ses deux derniers matches et la façon dont il sert la plupart du temps. A moi de trouver la solution avec mon jeu mais je me sens capable de l'emmener dans un match en cinq sets et de le battre. Je travaille pour vivre ces moments-là et je pense que ce sera un super moment de jouer ce genre de match. Mais si je peux plier la rencontre en trois sets, je le ferai... même si je n'aurai pas un joueur médiocre en face de moi.

G.D. : Il y a eu beaucoup de déclics autour de moi. Beaucoup de choses sont rentrées dans l'ordre et il n'y est pas étranger. Nous travaillons ensemble vers un but commun. Tant que nous serons sur la même longueur d'ondes, rien n'aura plus d'importance.

G.D. : Je vais me donner une nouvelle chance de le faire dès mercredi. C'est un stade de la compétition où j'aimerais être dans chaque tournoi du Grand Chelem, dans chaque tournoi du circuit ATP que je dispute. Ce sont ces matches-là que je veux jouer. C'est à ce genre de joueur que je veux faire face. Il n'y a rien de mieux pour moi.