24 Heures du Mans : Classements, réactions, photos...

1-POR n°19, 2-AUD n°9, 3-AUD n°7, 4-POR n°17, 5-POR n°18, 6-AUD n°8, 7-TOY n°2, 8-TOY n°1. Les écarts sont très faibles, notamment entre les trois voitures de tête, qui se tiennent en moins de 25 secondes.

Après une belle passe d'armes avec l'Audi n°7, la Porsche n°17 rentre aux stands pour purger sa pénalité d'une minute. Elle va devoir y retourner dans un tour pour ravitailler... Juste derrière, l'Audi n°7 rentre également. Du coup, la Porsche n°19 prend les devants, suivie de près par l'Audi n°9.

En tête de la course, la Porsche n°17 va devoir effectuer une pénalité d'une minute ! Enorme coup dur pour Mark Webber. L'Audi n°7 va s'emparer de la tête de la course !

Avec la neutralisation de la course, les écarts en tête se sont encore réduits. Les trois premières voitures se tiennent en moins de trois secondes. Le point sur le classement : 1-POR n°19, 2-POR n°17, 3-AUD n°7, 4-AUD n°9, 5-POR n°18, 6-AUD n°8, 7-TOY n°2, 8-TOY n°1

L'Audi n°9, pilotée par René Rast, a profité de la voiture de sécurité pour reprendre les commandes. Elle devance la Porsche n°19 de Nico Hülkenberg.

Gros coup dur pour Alpine. La n°36, avec le Français Paul Loup Chatin au volant, est dans le bac à graviers. Le pilote communique à la radio. La voiture médicale fait son apparition par précaution. Et la voiture de sécurité entre en piste pour la troisième fois de la journée.

Comme attendu, les Toyota ne sont pas dans le rythme. La n°1, qui a perdu énormément de temps aux stands pour des réparations en début de soirée, est à 5 tours du leader. La TS040 n°2 accuse deux tours de retard. Les Nissan sont en grande souffrance. Elles rencontrent des problèmes de surchauffe de freins. La meilleure GT-R est classée 22e...

Au volant de la 919 n°18, Romain Dumas maitrise mal son entrée de virage à Arnage. Il tape contre les pneus. Son nez est endommagé, il rentre aux stands. Porsche décide un changement de pilote. Les mécaniciens se chargent des réparations en quelques secondes. Impressionnant.

Sur la R18 n°9, le pilote portugais a établi un nouveau record du tour aux 24 Heures du Mans.

Les trois premières voitures de la catégorie reine se tiennent en une trentaine de seconde. Mais les chronos claqués par les pilotes de tête sont sensiblement les mêmes. Avec la nuit, la fatigue gagne les organismes.

Six heures de course, et toujours autant de suspens en tête. Audi et Porsche se rendent mutuellement la tête avec des ravitaillements décalés. Certains pilotes ont laissé le volant. Benoit Tréluyer, sur l'Audi n°7, cède sa place à Marcel Fässler. Le classement : 1-AUD n°9, 2-POR n°17, 3-AUD n°7, 4-POR n°18, 5-POR n°19, 6-AUD n°8, 7-TOY n°2

L'Audi n°9 finit par être récompensée de son agressivité. Après un nouveau ravitaillement, elle prend la tête devant la Porsche n°17 pilotée par Mark Webber. Le point au classement : 1-AUD n°9, 2-POR n°17, 3-AUD n°7, 4-POR n°19, 5-POR n°18, 6-AUD n°8, 7-TOY n°2, 8-REB n°12

La Toyota n°1 pilotée par Anthony Davidson a des dommages à l'avant droit. Elle va devoir passer par les stands. Comme lors du dernier relais, Filipe Albuquerque, deuxième au volant de l'Audi n°9, enchaine les très bons chronos pour combler son retard sur la Porsche n°17. Conséquence de cette agressivité, il doit rentrer plus tôt au stand.

Les prototypes de la catégorie reine ont effectué un nouvel arrêt, donnant plus de clarté sur les stratégies et les écarts. Aucun changement de pneumatiques ni de pilotes. Le classement : 1-POR n°17, 2-AUD n°9, 3-AUD n°7, 4-POR n°18, 5-POR n°19, 6-TOY n°1, 7-AUD n°8, 8-TOY n°2

L'écart entre la Porsche n°17 et les Audi n°9 et n°7 fond comme neige au Soleil. Les stratégies sont décalées. Harltey, le leader au volant de la Porsche n°17 rencontre des problèmes de visibilité. Il a de l'huile sur son pare-brise.

Toyota, qui ne peut rivaliser avec Porsche et Audi en termes de rythme et de vitesse, se sert des voitures de sécurité pour recoller à chaque fois. L'écurie japonaise espère une météo pluvieuse.

La présence de deux voitures de sécurité sur la piste lors de la longue neutralisation de la course a permis à la Porsche n°17, pilotée par Brendon Hartley, de prendre une avance supérieure à une minute. Mais les deux Audi, la n°7 et la n°9, sont à l'attaque pour combler cet écart. Surtout que le leader est dans le trafic.

1-POR n°17, 2-AUD n°7, 3-POR n°18, 4-AUD n°9, 5-TOY n°1, 6-POR n°19, 7-TOY n°2, 8-AUD n°8

Deux voitures de sécurité étaient sur le circuit. Pour réparer le rail, mais aussi à cause d'un nouvel incendie sur une Porsche GT. Du coup, des écarts artificiels ont été créés.

L'Audi n°8 de Loic Duval, qui roulait beaucoup trop vite dans une slow zone, parvient à éviter une Ferrari mais tape le rail. Le pilote réussit tout de même à rallier les stands malgré de gros dégâts. Fidèles à leur réputation, les mécaniciens d'Audi sont toujours aussi réactifs. Ils utilisent du ruban adhésif pour réparer certaines parties du prototype. La voiture de sécurité fait son apparition. La piste doit être nettoyée.

La course se stabilise en tête : 1-POR n°17, 2-POR n°18, 3-AUD n°8, 4-AUD n°9, 5-POR n°19, 6-AUD n°7, 7-TOY n°1, 8-TOY n°2

Bataille de stratégie entre les deux écuries allemandes. Audi décide de faire rentrer plus tôt la n°7 après une crevaison lente. Changement de gommes et de pilote, le Français Benoit Tréluyer prend le relais. Porsche reprend les commandes

Les Porsche n°18 et n°17 ont bouclé plus de tours que l'Audi n°7 avec le dernier train de pneus. Elles vont pouvoir attaquer avec des gommes plus fraiches.

La R18 s'arrête une nouvelle fois pour ravitailler et changer de pneumatiques. C'est toujours André Lotterer au volant.

Le pilote allemand André Lotterer est le plus rapide en piste. Très agressif, il prend très vite le meilleur sur les deux Porsche.

1-POR n°17, 2-AUD n°7, 3-POR n°18, 4-POR n°19, 5-AUD n°9, 6-AUD n°8, 7-TOY n°1, 8-TOY n°2

Le deuxième ravitaillement permet à la 919 n°17 de repartir leader. André Lotterer, sur l'Audi n°7, prend le meilleur sur la Porsche n°18.

L'Audi n°7 ravitaille. Les Porsche en profitent pour reprendre les devants,

André Lotterer, sur l'Audi n°7, dépasse les deux Porsche et prend les commandes de la course !

Les deux Porsche gardent les devants, mais Duval, sur l'Audi n°8, perd trois places.
Le point après 21 tours : 1-POR n°17, 2-POR n°18, 3-AUD n°7, 4-AUD n°9, 5-POR n°19, 6-AUD n°8, 7-TOY n°1, 8-TOY n°2

Le point après 17 tours : 1-POR n°17, 2-POR n°18, 3-AUD n°8, 4-AUD n°7, 5-AUD n°9, 6-POR n°19, 7-TOY n°1, 8-TOY n°2

Le regroupement profite aux Toyota, qui recollent aux Porsche et Audi de tête.

La Porsche 911 n°92 de Pilet en feu. Gros dégâts et abandon. Un accrochage entre des LMP2 à la première chicane. Voiture de sécurité en piste.

Une vue étonnante : la GT-R LM n°21 reprend la piste avec la porte gauche de l'habitacle ouverte.

La Toyota n°2 stoppe. Würz au volant.

Tour 11 : au tour de la Porsche n°18 et de l'Audi n°7 de passer au stand. Respectivement 50 et 55 secondes.

Tour 8 : pit stop de l'Audi n°8 et de la Porsche n°19.

Meilleur tour en course du poleman Jani (Porsche n°18), deuxième, en 3'20''471. Tour 8 : l'Audi n°9 au stand. Une stratégie volontairement décalée pour empêcher l'équipe d'avoir à gérer deux voitures en même temps.

Sous un ciel clément et par des températures douces (air à 22°C, piste à 25°C), Bill Ford, petit fils du constructeur Henry Ford, donne le départ de la 83e édition des 24 Heures du Mans automobiles est donné. La Porsche 919 n°18 de Jani, auteur de la pole position, vire en tête au virage n°1. La 919 n°17 de Bernhard, la déborde rapidement. La 919 n°19 est en couverture devant les trois Audi et les deux Toyota.

Avant la fin du premier tour, Duval (Audi n°8) passe la Porsche n°19 pour P3.

Le starter de la course libère les 55 bolides pour un ultime tour de reconnaissance de la piste avant le départ.