"Je sais où je vais"

P.R. : J'ai mon plan de carrière qui est respecté. Je progresse. L'an dernier, c'était particulier puisque je découvrais le Tour. Je sais où je vais désormais. De toute façon, j'ai beaucoup appris notamment dans la gestion d'un grand Tour. Je n'ai pas l'expérience de Thomas ou Pierrick mais je suis mieux préparé.

P.R. : On verra au jour le jour. Les étapes ou le général, tout est bon à prendre, je ne vais pas me freiner. Je suis au top de ma forme actuellement. Le travail a été bien fait. Je suis au maximum de mes possibilités.

P.R. : Tout est envisageable. Si la première semaine se passe mal, je peux changer mon fusil d'épaule et me rabattre sur ce maillot. Mais je ne veux pas mettre la charrue avant les boeufs.

P.R. : Non, j'en ai moins. L'an dernier, je découvrais le Tour et les courses de trois semaines. Cette année, j'ai plus d'expérience. Je suis plus sûr de moi. On verra ce que je peux faire. Ce n'est pas parce qu'on m'attend que je vais forcément décrocher des résultats. Ça fait deux ans que j'ai la pression sans cesse, je suis habitué désormais.

P.R. : Il va y avoir de très gros écarts et donc de belles opportunités. De nombreuses échappées devraient aller au bout. Pourquoi ne pas en prendre une.

P.R. : Je me suis entraîné pour perdre moins de temps. Mais on ne passe pas de la 100e à la 10e place en un claquement de doigt. Les deux premières semaines seront suffisamment difficiles pour se concentrer d'abord sur elles. Ce chrono se jouera sur la fraicheur et les principaux écarts seront déjà creusés. Personne ne perdra plus de 5 places ce jour-là.

P.R. : Tout le monde gagne mais on reste serein. Il y a de l'enthousiasme mais pas de suffisance. On est soudé avec une très bonne ambiance qui va du mécano au directeur sportif. Tout cela contribue aux bons résultats.

P.R. : Je sais qu'ils attendent de moi de viser le classement général. On verra au jour le jour. Les autres coureurs seront là pour gagner les étapes.