"A Bastia, il ne faudra pas avoir la grippe, ni la gastro": le top des déclas de la 12e journée
/dnl.eurosport.com/sd/img/placeholder/eurosport_logo_1x1.png){kind=logo}
ParEurosport
Publié 06/11/2016 à 00:08 GMT+1
Bruno Genesio, l'entraîneur de Lyon, et Waldemar Kita, le président nantais, ne sont pas les seuls à s'être lâchés face aux micros samedi soir. François Ciccolini, le coach de Bastia, a lui aussi eu le sens de la formule.
François Ciccolini, l'entraîneur de Bastia.
Crédit: Panoramic
Bastia-Lyon, vivement le match retour
François Ciccolini n'a pas du tout, mais alors pas du tout goûté l'arbitrage de Lyon-Bastia (2-1). Ce match, le Sporting l'a perdu à neuf contre onze. Alors l'entraîneur corse donne rendez-vous au match retour, à Furiani.
Quand il va falloir venir à Bastia, il ne faudra pas avoir la grippe, ni la gastro. On va régler ça comme des hommes, comme des Corses.
Les Toulousains avaient la tête ailleurs
Le TFC pensait tenir les trois points à Nantes. C'était sans compter sur la colère des supporters nantais, qui ont déconcentré les Violets dans le temps additionnel (1-1). Au grand dam de Pascal Dupraz.
Sur l'égalisation, on est très attentiste, en train de regarder ce qu'il se passe dans les tribunes. On ne peut se prendre qu'à nous-mêmes.
Chez les Merlus, le doute du banc rejaillit sur le terrain
Lanterne rouge de Ligue 1, Lorient a concédé, à Bordeaux (2-1), son 9e revers de la saison. Le flou entourant l'intronisation d'un nouvel entraîneur n'arrange rien. Franck Haise, coach intérimaire des Merlus, ne dira pas le contraire.
L'incertitude est l'ennemi de la performance.
Le but de Rolan a bluffé Gourvennec
D'un ciseau dans la lucarne, Diego Rolan a inscrit un but d'exception. Celui de la victoire bordelaise face à Lorient (2-1). Jocelyn Gourvennec, l'entraîneur des Girondins, l'a apprécié à sa juste valeur.
Je ne sais pas s'il en déjà marqué des comme ça, mais il est fantastique, très spontané, un vrai geste de buteur avec la réussite qui va avec certes, mais encore faut-il le tenter. C'est un but qui va compter.
Antonetti désabusé
Lille a fait le dos rond à Angers (1-0). Mais Lille a (encore) perdu. Quand ça veut pas, ça veut pas, pestait après coup Frédéric Antonetti, l'entraîneur des Dogues.
Ce genre de match, normalement, c'est 0-0. Malheureusement, quand on est dans notre situation, il y a toujours un moment donné où quelque chose nous échappe. Quand on est dans une bonne passe, c'est un match que l'on gagne 1-0. Quand on est dans une mauvaise passe, on le perd 1-0.
Rejoignez Plus de 3M d'utilisateurs sur l'app
Restez connecté aux dernières infos, résultats et suivez le sport en direct
Télécharger
Scannez ici
Partager cet article
Publicité
Publicité