Abriel : "Jouer notre jeu"

F.A. : Malgré la défaite, on avait réalisé un bon match contre les Italiens. Même constat contre le Real Madrid (défaite 3-0, ndlr). Mais ces deux rencontres sont arrivées tôt dans la saison. Depuis, on a commencé à prendre nos repères. On est encore en construction, mais je pense que nous appréhendons moins ce genre de match.

F.A. : On va jouer différemment. Lorsque nous allons attaquer, il faudra garder des sécurités défensives. Parce que Milan joue très bien en contre.

F.A. : Je pense que nous devons faire preuve de la même insouciance offensive que face à Lyon (5-5) ou Zurich (6-1). On est entré dans ces rencontres très concentrés. Nous voulions poser notre jeu. Et puis, si nous arrivons à ouvrir le score, il faudra gérer cet avantage comme on l'a fait devant Paris (1-0). C'était un scénario intéressant qui a montré que l'on pouvait maintenir notre but d'avance jusqu'au bout dans un grand match.

F.A. : Oui, on a réussi à jouer très bas et on ne s'est pas retrouvé dans des situations difficiles. Paris n'a eu qu'une seule occasion durant toute la rencontre. On doit montrer le même visage mercredi. On ne doit pas avoir peur de l'adversaire mais en même temps il va falloir rester humble.

F.A. : Oui, Milan peut connaître un excès de confiance. Ils vont peut-être oublier les forces de Marseille. A nous d'en profiter.

F.A. : Oui ! Bien sûr, on ne va pas dire que l'on va dominer le Milan et avoir 80% de possession de balle. Mais on va jouer notre jeu, notamment les contres. On n'a pas mal de certitudes là-dessus. Car nous avons un état d'esprit très positif en ce moment. On fait beaucoup de courses ensemble et on arrive à protéger notre but. Bref, il y a un certain don de soi dans cette équipe. C'est très important.

F.A. : Vous savez, c'est difficile de tirer un véritable enseignement de leur dernier match de championnat (victoire 4-3 contre Cagliari, ndlr). Ils ont une grande puissance offensive mais ils prennent aussi pas mal de buts. Maintenant, c'est une grande équipe qui sait rectifier le tir quand il le faut. Mais la pression est sur eux.

F.A. : On n'en est plus à regarder jouer notre adversaire. Tout est possible là-bas. Il faut arriver à gérer les temps forts et imposer notre rythme de jeu. Car si on arrive à les faire douter, ils seront obligés de sortir. Ça peut nous permettre de les surprendre en contre. On peut aussi s'appuyer sur les coups de pied arrêtés. On a bien progressé dans ce secteur.

F.A. : Tout a été très simple avec les joueurs. C'est peut-être parce que j'ai 30 ans et que j'ai pas mal vadrouillé (rires).

F.A. : Je savais où je mettais les pieds. Il y a de la concurrence mais tout le monde a été à un moment ou un autre sur le banc de touche. Ça permet de souffler quand on est moins bien physiquement. Il n'y a pas de soucis sur ce point-là. On a un groupe qui vit bien.