Boudjellal, Sharapova, Ribéry : Le Top 40 des déclas de 2016 (De la 40e à la 31e)
Mis à jour 27/12/2016 à 22:18 GMT+1
Pas de sport sans les petites phrases. Sur Twitter, au micro ou devant les caméras, les (plus ou moins) bons mots, pas toujours maitrisés, rythment aussi l'actualité sportive. Premier volet de notre tour d'horizon des "paroles sportives" de 2016.
Si j'avais décidé d'annoncer la fin de ma carrière, je ne l'aurais pas fait dans un hôtel du centre-ville de Los Angeles avec une moquette aussi laide
40. Maria Sharapova – Début mars, la Russe convoque la presse. Beaucoup pensent qu'elle va annoncer la fin de sa carrière à 20 heures. Non, Sharapova s'est fait "pincer" par la patrouille à Melbourne. Positive au meldonium, elle vient s'expliquer dans un cadre volontairement dégradé et loin du glamour de la Tsarine Maria. Communication quand tu nous tiens…
Pep Guardiola dit ceux qui veulent avoir des rapports (sexuels) c'est avant minuit, car il faut une bonne nuit de sommeil.
39. Samir Nasri – L'international français, aujourd'hui à Séville, n'a pas côtoyé Pep Guardiola très longtemps mais il a quand même eu le temps de s'imprimer des grands préceptes de l'entraîneur de Manchester City. Il les a dévoilés sur la chaine L’Equipe. Reste à savoir s’il les applique.
Si je vois les fautes, c'est que même Gilbert Montagné peut les voir.
38. Mourad Boudjellal – Monsieur punchline a tenu son rang en 2016. Après la défaite de Toulon à Mayol face aux Saracens, le boss du RCT l'avait mauvaise. Et l'a fait savoir. A sa manière.
Le titre pour Leicester ? Plus probable de voir E.T. à Londres !
37. Claudio Ranieri – Une fois, ça va. Deux fois ? Impossible. Quand on a demandé à l'entraîneur de Leicester s'il imaginait conquérir la Premier League une deuxième fois de suite, il n'y est pas allé par quatre chemins. Et il n'avait pas tort. Aujourd'hui, E.T. est plus proche de la capitale britannique que les Foxes d'un nouveau sacre.
Il va falloir mettre des sous.
36. Jean-Claude Gaudin – A Marseille, on a le sens de l'accueil. Et de la formule. Le jour où Frank McCourt, futur repreneur de l'OM, a été présenté à la mairie de la cité phocéenne, le maire a été plutôt direct. Assis à la droite de l'Américain, Jean-Claude Gaudin n'a pas mis deux minutes à demander de l'argent au Bostonien. Welcome in Marseille, Frank !
J’ai l’impression d’avoir fait les courses, la cuisine, mis la table, mais ce n’est pas moi qui mange.
35. Franck Passi – L'ex-entraîneur de l'OM a peu apprécié la fin de son histoire à Marseille. Remercié le 20 octobre dernier et remplacé par Rudi Garcia, il a eu l'impression d'avoir fait le sale boulot. Pour rester dans la métaphore culinaire, Passi se sent un peu comme le dindon de la farce.
L’Euro ? Didier Deschamps prendra les meilleurs… On verra.
34. Franck Ribéry – Dix-huit mois après avoir claqué la porte de l’équipe de France, Franck Ribéry l’entrouvre au moment où l’on s’y attend le moins… La veille du 8e retour de C1 face à la Juventus, le Bavarois lâche cette phrase qui veut tout et rien dire à la fois. Didier Deschamps ne la prendra pas au sérieux. Et Ribéry finira par éclaircir ses propos pour renoncer définitivement à l’Euro.
Celle-là, elle fait mal, clairement.
33. Roger Federer – Cette déclaration d'après-match ressemble à des milliers d'autres. Sauf qu'elle a été prononcée par Federer le 8 juillet dernier. Quelques minutes plus tôt, le Suisse a été battu par Milos Raonic en demi-finale de Wimbledon. Si près d'une onzième finale à Londres. La douleur est mentale et physique, puisque touché au genou, Federer ne rejouera plus de l'année.
Ces escrocs ne devraient pas exister dans notre sport. Il faut les virer !
32. Bernard Laporte – Le nouveau président de la FFR n'a pas la langue dans sa poche. Il l'a prouvé durant la campagne et dans les colonnes du Figaro. Ses cibles ? Indirecte : Pierre Camou, alors à la tête de la fédération. Direct : Jean-Louis Boujon, président du Comité d'Ile-de-France. Laporte a fait mouche.
Merci à notre FFT si incompétente pour nous avoir gâché ce moment de sport si important dans nos carrières respectives, Caroline Garcia et moi !
31. Kristina Mladenovic – Rio. Début août. "Kiki" en veut très fort à la FFT. Pourquoi ? La fédé ne s'est pas renseignée sur le « dress code » des JO. Résultat, Mladenovic et Garcia se sont présentées dépareillées sur le court et ont dû faire avec les moyens du bord pour éviter une disqualification. A l'arrivée, une défaite au premier tour des JO, une suspension et un premier gros caillou dans la chaussure de la fédération cet été.
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