Le top 30 des déclas de l'année (de la 10e à la 1re) : Ibrahimovic, l'incontournable
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Mis à jour 30/12/2015 à 15:22 GMT+1
Pas de sport sans les petites phrases. Sur Twitter, au micro ou devant les caméras, les (plus ou moins) bons mots, pas toujours maitrisés, rythment aussi l'actualité sportive. Triosième et dernier volet de notre best of ce mercredi.
Zlatan Ibrahimovic (PSG) face à Bordeaux.
Crédit: Eurosport
La rumeur que j'essaie de lancer dès à présent c'est que c'est Justin Gatlin qui l'a payé !
10. Usain Bolt – Expédié brutalement et involontairement au sol par un segway après sa victoire sur 200m à Pékin, Lightning Bolt n'a pas pu s'empêcher de chambrer Justin Gatlin, après l'avoir martyrisé à deux reprises sur la piste.
Je compare un peu le président de la fédération à Fidel Castro. De temps en temps on nous le montre, puis il disparaît à nouveau
9. Mourad Boudjellal – Toujours le bon mot, le président du RCT. Et le sens de la métaphore. Pierre Camou aura apprécié, sans nul doute.
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Mourad Boudjellal (Toulon) dans son bureau - 1er décembre 2015
Crédit: AFP
A un moment, je ne peux pas défendre l’indéfendable. Même à mon pire ennemi, je ne ferais pas ça
8. Mathieu Valbuena – Quand le Lyonnais est sorti de son silence pour dire publiquement ce qu'il pensait de l'attitude et des mots de Karim Benzema, son coéquipier chez les Bleus.
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Benzema et Valbuena au Mondial 2014
Crédit: Eurosport
Je suis le normal one
7. Jurgen Klopp – Malin. Drôle. Percutant. En cinq mots, Jürgen Klopp pose sa signature sur sa première conférence de presse à Liverpool, en écho, ou plutôt anti-écho, au "Special One" de Mourinho, lors de l'arrivée du Portugais à Chelsea.
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Jürgen Klopp
Crédit: Twitter
Ils avaient l'idée de m'envoyer à la retraite et finalement, j'ai poussé tout leur pays vers la retraite
6. Zlatan Ibrahimovic – Zlatan marque. Zlatan gagne. Zlatan qualifie la Suède. Zlatan élimine le Danemark. Zlatan chambre.
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Zlatan Ibrahimovic (Suède) face au Danemark
Crédit: AFP
Je suis juste ici pour ne pas prendre d'amende
5. Marshawn Lynch – La phrase la plus surréaliste de l'année. "I'm just here so I won't get fined", en version originale, répétée à l'infini. Lynch, le running back de Seattle, déteste les obligations médiatiques. Mais avant le Super Bowl contre New England, il n'a pas eu le choix. Pour s'éviter une gigantesque amende, il s'est donc pointé devant la presse lors du media day. Mais à chaque question, il a répondu : "Je suis juste ici pour ne pas prendre d'amende". Une séquence hallucinante.
Tu as autant de charisme que mon slip
4. Tyson Fury - Le "tu", en l'occurrence, c'est Vladimir Klitschko. Lors de la présentation du championnat du monde des lourds entre les deux hommes, Tyson Fury a fait le show face à l'Ukrainien. "C’est ma mission de débarrasser la boxe de toi, parce que tu es un vieil homme chiant a-t-il lancé. Tu as autant de charisme que mon slip. Tu es un vieil homme ridé avec une mâchoire de verre et je vais la faire exploser comme une bouteille dans un mur." Grande gueule mais, sur le ring, il a allié les actes à la parole en détrônant l'Ukrainien.
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Vladimir Klitschko et Tyson Fury
Crédit: AFP
J'ai dit à Labrune que c'était un guignol et qu'il n'allait pas durer aussi longtemps qu'il le croit dans le monde du football
3. Jean-Michel Aulas – Le choc olympique entre Marseille et Lyon a tourné au vinaigre au Vélodrome en septembre dernier. Entre autres incidents, cette phrase de JMA en forme de crochet du droit à son homologue et néanmoins pas ami de l'OM.
Kokkinakis a couché avec ta copine, désolé de te le dire, mec
2. Nick Kyrgios - Le jeune Australien a sorti ça en plein match face à Stan Wawrinka à Montréal au mois d'août. Pas assez fort pour que son adversaire puisse l'entendre, mais suffisamment pour que ses propos soient captés par les micros au bord du court. Bon esprit, Nick. Il s'en tirera avec une grosse amende et 28 jours de suspension avec sursis.
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Nick Kyrgios à Montréal en 2015
Crédit: AFP
Ça fait quinze ans que je joue au foot et je n'ai jamais vu un arbitre aussi nul dans ce pays de merde. Ce pays ne mérite pas le PSG
1. Zlatan Ibrahimovic – Prononcés sous le coup de la colère dans les couloirs de Chaban-Delmas après la défaite du PSG à Bordeaux (la dernière à ce jour en Ligue 1 pour le club parisien...) au mois de mars, ces mots ont fait beaucoup, beaucoup de bruit et valu à leur auteur une suspension. Ibra s'est vite excusé mais le "pays de merde" restera une de ses tirades les plus fameuses. Et la décla de l'année.
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Zlatan Ibrahimovic lors de Bordeaux - PSG
Crédit: AFP
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